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Judyta B. Litovski

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MessageSujet: Judyta B. Litovski Judyta B. Litovski EmptyVen 21 Sep - 11:11

Invité
Anonymous

Invité


Judyta (Balinski) Litovski



Est âgée de 21 ans
Et de sexe Féminin
Son pays d'origine est la Pologne
Sa langue natale est le polonais, bien qu'elle ai quelques bases en russe et en anglais.

Mon histoire




I - Temps d'insouciance.

    Même en temps de répression, l'enfance pour cette famille polonaise, demeurait être respectée, jusqu'à l'âge où l'enfant était capable de se rendre utile, approximativement dans les 4 ans pour un garçon, et 5 ans pour une fille. Par chance, Judyta fut une fille.

    Quatrième enfant issue de l'union de Gregor et Magdalena Balinski, elle ne connaîtra cependant que la compagnie de sa soeur cadette, Irena. Coïncidence incroyable, elle sont nées le même jour du même mois, à une année d'intervalle près bien entendu. C'est un fait qui a énormément intrigué leurs parents, mais qui en ont joués en les faisant passer pour de véritable soeurs jumelles, profitant de cette ressemblance tout aussi frappante. Hélas, les deux petites faisaient plus souvent la guerre qu'autre chose. L'arrivée d'un autre enfant, une concurrente pour l'aîné, ne signifiait rien de bon.

    Après sa naissance, Gregor reprit la route vers la Russie, avant tout son pays natal, mais aussi son lieu de travail. En forte opposition avec le régime de fer, il s'est engagé très tôt dans la résistance, et a décidé de prêter main forte à sa patrie d'origine au détriment de vivre avec sa petite famille. Pour subvenir aux besoins de celle-ci, même en étant en déplacement, il prit un petit emplacement et devint commerçant de rue. Un bien maigre salaire, mais c'est tout ce qu'il trouva de mieux. C'est en réalité un mal pour un bien : la distance pour une sécurité un peu plus sûre pour les siens. Contrairement à son époux, Magdalena n'a pas eu le coeur assez solide pour s'engager dans la rébellion, c'est pourquoi elle est toujours restée au foyer pour éduquer elle même ses enfants, pratiquant l'école à la maison. Faible mais tenace, c'est elle qui décidait de l'avenir de la famille, et Judyta appris bien vite les rudiments du respect, tout comme le reste de ses frères et soeurs. Mais jusqu'à ses 5 ans, on ne l'embêta pas trop, la laissant vaquer à ses jeux enfantin tout beaux tout roses, des jours insouciants égayés par les visites risquées mais ponctuelles de son père. Elle était le mieux qu'avec celui-ci, d'ailleurs, un bon père, avenant et patient, même le peu de fois où il a été là.


II. L'entrée en matière

    Sans prendre aucun retard, le jour de son cinquième anniversaire sonna le glas. Des bougies poussiéreuses, voire non existantes, une fois soufflées, et le comportement de la mère de Judyta se métamorphosa littéralement. A elle, à qui on ne demandait rien, toutes les attentes de sa mère lui parurent aussi impossible que de décrocher la lune. Se résignant à abandonner ses amis lego, sous l'ordre de celle qu'elle renomma la dictadura, elle s'en alla exécuter divers tribunes toutes aussi inutiles les unes que les autres. ( Comme livreuse de journaux, vendeuse d'oeuf et même de poule si le besoin d'argent se faisait sentir à la fin du mois.) Seulement voilà, ça ne lui plaisait pas. Jud' rêvait d'accomplir les mêmes exploits que son père, de faire partie de la résistance, d'être une contrainte pour le pays. Au lieu de cela, elle passait pour l'enfant modèle, mais anéanti par la pauvreté, complétant les revenus que leur faisait parvenir leur père, une mince somme, mais suffisante.

    L'année suivante, leur mère dispensa sa grande soeur de toutes tâches et corvées, disant qu'Irena avait été "repérée". Était-ce une bonne ou une mauvaise chose ? A ce qu'elle sache, elle n'avait pas non plus le cran de mettre des battons dans les roues des hommes armés. Irena passait de plus en plus de temps à la maison, exceptés quelques rares sorties le matins, toujours à heure fixe. Qu'est-ce qu'il se tramait donc . Bouclée à quatre tour dans sa chambre, elle y restait des heures, sans en sortir, presque silencieuse. Et par le trou de la serrure, Jud' apercevait des ombres floues dansantes sur les murs. Sa soeur dansait, virevoltait dans les airs, d'une grâce et d'une souplesse inégalable. Alors du mieux qu'elle put, elle répéta tout ce qu'elle put observer. C'était donc ça son secret.

    A l'âge de sept ans, ses projets sur la révolution mûrissaient dans sa tête, et elle se jura bien que plus tard, elle serait aussi utile que son père. Qu'apporterait une danse au pays ? Sa mère n'était pas du même avis. Tout comme Irena avait du le suivre, elle l'envoya dans un foyer d'apprentissage, exerçant de jeunes mains à modeler, coudre, cuisiner, peindre et encore danser. Elle s'en échappa bien vite, lorsqu'elle se souvint qu'elle savait déjà danser elle aussi. Son retour à la maison ne fut pas si bien accepté qu'elle l'aurait cru, et cette provocation lui coûta cher. Sa mère la chassa de la maison, traitant tantôt sa fille de "bonne à rien" ou encore " d'indiscipliné". Mais après tout, si elle était si indiscipliné que cela, c'était sa faute. La jeune demoiselle fut envoyer en pensionnat, qu'elle ne quitta seulement pour les vacances d'été. Jamais, on ne venait lui rendre visite, mais ici, elle avait la paix. Les femmes qui s'occupaient de leur apprendre les choses de la vies leur faisait travailler la couture, la cuisine, les règles de savoir vivre, l'art du service, et tout ce qu'elles mêmes jugeaient utile pour que ces petites filles deviennent des femmes. Mais en rien elles ne leur transmettaient une once de savoir.

    De plus, parmi les diverses choses qu'on lui appris, elle se découvrit une véritable passion pour la peinture, outre rénover des vieux objets inutiles. Non, ce qu'elle préférait, c'était les paysages, représenter la nature dans toute sa splendeur. Alors, chaque soir, à la fenêtre de sa chambre, elle peignait, jusqu'au petit matin. Ceci dura 8 ans.

III. Renouveau

    (***)
    Sa petite main tremblante s'était fortement agrippée à la l'enveloppe. L'autre, encore libre, ne tarda pas à rejoindre le creux de sa bouche, les yeux rivés sur le courrier qu'elle venait de recevoir. Tant de formules de politesses, d'euphémismes. La rédaction devait bien leur prendre une bonne demi-journée, et il serait plus simple pour eux d'aller droit au but, puisqu'il n'y avait aucun mot pour masquer la nouvelle. La mort de Gregor Balonski, en ce matin d'hiver, tomba. Il fut exécuté pour manquement de discipline et conduite allant à l'encontre des volontés de Gervideo. Son père, la parfaite réincarnation d'un héros, venait de s'évaporer en même temps que lui. Judyta se sentit tout a coups seule et sans but, son rêve de combattre ce tyran aux côtés de son paternels, envolés. Mais elle ne resta pas seule longtemps.

    On dit qu'un drame n'arrive jamais seul. Et elle, qui avait toujours été considérée comme un fardeau par sa mère, fut rapatrié au domicile familiale quelques mois après la mort de son père. Ah. C'était maintenant, que Magdalena avait besoin d'elle ? Assouvir ses désirs par le biais de sa première fille ne lui suffisait pas ? Avoir deux servantes est plus intéressant qu'en avoir qu'une. Elle ne s'était pas trompée, mais n'était pas si proche de la vérité. A son arrivée, sa mère l'attendait déjà au bas de l'immeuble, la mine terne et dure, tenant une lettre semblable à celle que sa fille avait reçu au foyer. Elle aussi, était seule. Voilà que maintenant, il ne restaient plus qu'elles. Irena était elle aussi parti.

    Vint alors le jour où Gervideo débarqua subitement dans ce pays qu'il avait annexé. C'était la folie à la capitale. Tout Varsovie était sur son trente et un, et les partisans festoyaient et chantaient à s'en briser les cordes vocales dans toutes les rues. En guise de distraction, l'ancienne compagnie de danse de sa soeur donna un spectacle en l'honneur de Gervideo. Emballé par ce concept où des millions de jolies paires de jambes étaient sollicités, il organisa une représentation compétitive de danse dès son retour en Russie, conviant toutes les danseuses slovaques qu'il avait déjà repéré quelques mois plus tôt. L'occasion ne se manquait pas.

    - Tu iras remplacer ta soeur, lui ordonna sa mère après avoir intercepté cette information. Il était impensable de refuser, sa soif de richesse avait atteint le sommet depuis la mort de son mari. C'était la première fois qu'elle semblait d'une once d'attention à l'égard de sa plus jeune fille. l'échange ne fut pas si difficile à faire. Judyta récupéra les papiers d'identités de sa soeur, ses affaires, et le plus important, ses habits de danse. Elle ignorait, qu'elle possédait une garde robe pareille.

    Trimballée dans un vieux tacot jusqu'en Russie à la place de sa défunte soeur, elle parti réaliser l'irréalisable, danser, elle qui n'avait eue que pour seul professeur la silhouette de son aînée.


IV. Le tournant

    Le spectacle eu lieu, une dizaine de jour après son arrivée, le temps de monter le show, et d'apprendre à toutes les danseuses les différentes chorégraphies. Toute la grande providence, ainsi que la haute société de plusieurs pays s'y trouvaient pour y assister. Le trac avait déjà envahi tout son corps lorsque le rideau se leva, mais jamais elle n'a flanché, se contentant d'offrir le plus magnifique de ses sourires. Dans la salle, elle avait déjà remarqué le regard insistant que lui portait un jeune américain, assis aux rangs supérieurs. Ce regard l'avait perturbé tout au long de sa démonstration.

    Par la suite, alors qu'elle pensait enfin pouvoir rentrer chez elle, il vint à sa rencontre, accompagné quelques bon gardes du corps, tout aussi impressionnants que les militaires qui surveillaient les rues de Varsovie.
    - C'est elle, lança-t-il à un homme plus en retrait, vêtu différemment des autres, un cigare encore fumant au coin des lèvres. Le concerné, qui se trouvait être le père du jeune homme, s'offusqua presque du choix de son fils. Il balbutia quelques mots dans leur langue natale, qu'elle ne saisi pas. De l'anglais, probablement. Silencieuse, la suite ne se fit pas attendre.
    - Elle est jeune, répliqua-t-il de nouveau, et puis, nous n'auront qu'à proposer un prix à Gervideo. Un prix ? Elle faillit s'offusquer,mais déjà, les hommes en noir lui avaient immobilisés les bras et bâillonné la bouche pour l'empêcher de parler. L'idée était loin d'enchanter Judyta, qui ne pouvait rien faire d'autre que froncer les sourcils pour sa défense. la peur, la panique, la fatigue, tous ses regards tournés vers elle, tout cela, était de trop. Épuisée, elle ferma les yeux pour un laps de temps indéterminé.

    (***)
    - Elle vient du pays voisin, ya ya ya. C'est une polonaise.
    - Bien, alors vous n'omettez aucune objection pour que nous l'emmenions avec nous ?
    - Je ne crois pas que ce soit une orpheline, très cher.
    - Avec une honnête somme, je suis certain que sa famille nous pardonnera de l'avoir acheté.
    Un silence. Puis...
    - N'oubliez pas de lui changer de nom. C'est recommandé si vous rentrez en Amérique.
    - Nous comptions rester quelques temps ici. Autant lui attribuer un nom Russe.


V. Seconde chance

    - LITOVSKI !
    Ce grondement aussi sourd qu'un volcan en éruption lui bourdonna jusque dans les oreilles, si fort qu'elle failli trébucher en ce précipitant devant le maître de la résidence.
    Après quelques arrangements, et de quoi moyenner, Judyta fut la propriété de la famille Eitcher, spécialement au service de leur fils unique, Thomas . A sa tâche, la jeune femme maintenant âgée de 18 ans se devaient de veiller à ce que mr. Eitcher ne manque jamais de rien, des ordres plus généralement confiés par la gouvernante supérieure que par le concerné lui même. D'ailleurs, elle ne le le voyait que quelques rares fois, et se questionnait vraiment sur sa présence ici. Était-elle vraiment nécessaire ? La résidence était remplies de servantes en tout genre, certainement plus habiles qu'elle. Bien qu'occupée, Jud' continuait de contenir sa passion pour la peinture sur tous les matériaux qu'elle trouvait, qu'elle piquait sur le bord d'une table, ou qu'elle récoltait dans le jardin. En guise de peinture, des plantes qu'elle pressait, ses habits qu'elle décolorait,...

    Son petit secret ne dura pas bien longtemps, ses agissements intriguèrent plus d'une gouvernante, qui ne se fit pas prier pour aller rapporter leur découvertes au jeune maître. Immédiatement, il la fit venir jusqu'à ses appartements.
    Une table, au milieu de la pièce. Une chaise. Et un drap blanc.

    - Que fais tu en dehors de tes heures de travail ? Questionna-t-il simplement, un air innocent sur son visage. Elle ne répondit pas immédiatement, trop absorbée par la beauté et le charisme qu'il dégageait.
    - Je.. rien. Bredouilla-t-elle.
    - Ce n'est pas dans les habitudes des servantes de me mentir, à moi. Maintenant, réponds !
    - Je... je dessine. Je peints. Mais je ne voulais pas..
    - Et bien, qu'attends tu pour soulever ce drap ?
    Judyta s'exécuta sans rechigner, découvrant tout le matériel nécessaire pour ses créations qui lui avait toujours manquer dès alors. De la peinture de haute qualité, des pinceaux de toutes les tailles, même les plus fins qu'il soit. Et des toiles, à en remplir sa chambrée. Un sourire sincère se dessina sur son visage, et sans plus tarder, elle s'empara de son matériel ébaucher une esquisse, affiner ses traits, puis enfin remplir de couleur sa toile, sous le regard attentif de du jeune homme.

    - J'espérais que tu avais un véritable talent, autre que la danse, lança-t-il nonchalant, lui faisant presque dévier son geste appliqué. Elle se figea, plantant ses yeux glacial dans les siens. Elle avait été démasquée, dès le début, il avait tout de suite deviné.
    - Alors... pourquoi m'avez vous fait demandé ?
    Pensif, il répliqua en riant :
    - Je n'ai jamais vu si mauvaise danseuse !
    - Ce n'est pas très gentil... Lâcha-t-elle tout naturellement, se rendant compte, après coups, de son erreur. A sa plus grande surprise, il ria davantage.
    - Haha ! Personne ne m'avais jamais dis que j'étais méchant non plus. Quel est ton nom ?
    - Judyta.
    - AH ! Je ne l'avais jamais entendu nom plus. Bien. Enchanté Judith, je m'appelle Thomas.
    Judith ? Étonnée, elle ne tarda pas à lui faire remarquer sa confusion.
    - Non non, Judith ! Insista-t-il. C'est comme ça qu'on le prononcerait dans mon pays.
    Dès ce jour, leur relation devint étroite, étroitement bizarre. Son étroite liaison, de part les affaires de son père, par rapport au régime de fer, n'avait vraisemblablement pas influé sur son caractère, tendre comme un agneau. Il la conviait de plus en plus dans ses quartiers pour maintes et maintes raison, qu'elle lui apporte le thé, qu'elle aille s'occuper de ses effets personnel, rendre le lieu propre, chaque prétexte était bon pour qu'ils se rencontrent à nouveau. Et chaque moment était un gain de bonheur, une seconde chance au sein de cette seconde vie.


VI. Et si... ?

    ... elle était amoureuse de lui ?
    C'est vrai, l'hiver était magnifique, en Russie, comme dans son pays natal. Et les nombreuses balades dans les jardins était un moment féerique, qu'ils essayaient de partager, malgré la garde rapprochée qui le suivait où qu'il aille. Loin d'être un fils à papa, lui même transgressait les règles pour venir la rejoindre dans un coin de l'immense propriété, n'ayant pour seule distraction, que de se découvrir l'un l'autre. Une fois même, il la retrouva à l'extérieur alors qu'elle peignait en secret. Seulement vêtu du manteau qu'elle avait transporté lors de la représentation, elle ne semblait pas se concentrer sur la fraîcheur de l'atmosphère. Habituée dès son plus jeune âge, cela ne lui posait aucun problème. Lui, en revanche, était habillé comme un ours, couvert de la tête aux pieds.
    - Tu vas attraper froid, et après, tu viendras me transmettre tes microbes.
    - Aucun risque, lui assura-t-elle, sans dévier son regard de sa peinture. Je ne craints pas le froid.
    Le jeune héritier sembla déçu. Pourtant, il resta encore auprès d'elle jusqu'à ce qu'elle termine sa toile. Il lui enroula rapidement sa propre écharpe autour du cou, grelottant par la suite, tentant de maîtriser ses convulsions.
    - Menteuse ! Regardes, tu as froid.
    Peu convaincu par des paroles qui sortaient d'une corps tout tremblotant, elle ria discrètement avant de partager avec lui son habit de laine, liant leur deux cou par le biais de ce présent, qu'elle conserva après cette promenade sous la neige. Souvent, il avait ce genre de comportement, étrange, et seulement avec elle. Cela lui rappelait les douceurs et l'affections que lui portaient son père, en version amélioré.
    - Je vais rentrer, il se fait tard.
    D'un coups sec, il s'éloigna de la jeune femme, marchant à grand pas vers la demeure, sans doute pour y être plus au chaud. Mais son départ soudain la contraria, et alors, elle fit une chose qu'elle n'aurait sûrement jamais oser faire s'il n'avait pas un comportement étrange à son égard. Profitant qu'il était de dos, elle se pencha pour former une boule de neige, qu'elle était prête à lui lancer s'il avait le culot de ne pas lui répondre.
    - Tu attends ta jolie petite histoire au coin du feu, c'est ça ?
    Il se retourna, un sourire calme et posé aux coins de lèvres, le regard taquin.
    - Non, j'attends que mademoiselle Litovski vienne me border lorsqu'elle aura fini de jouer avec la neige.
    (***)

    - Kof kof.
    - Maître, vous toussez de plus en plus ces derniers temps.
    - Oui, cet hiver était rude. Albert, apportez moi un chocolat chaud, si cela ne vous ennuis pas.
    Le majordome s'exécuta, laissant la pièce pour eux tout seul. Judyta soupira longuement. Il était difficile d'être si formelle avec Thomas, lorsqu'ils avaient de la compagnie.
    - Tout ce cinéma pour un petit rhume ! Plaisanta-t-elle, tout en bordant à nouveau le lit de son patient.
    - Si seulement j'avais une écharpe ..!
    - Malin, mais ça ne marche pas, tu me l'as donné !
    - Et toi, que m'as tu donné en échange ?
    Elle demeura interdite, son côté mesquin s'évanouissant dans la pièce. C'est vrai, qu'avait elle à lui donner en retour ? Ses services ? Elle avait été achetée dans ce but, de toute manière. Un objet de valeur ? Elle n'en possedait aucun. Voyant son malaise, il se pencha difficilement vers elle pour lui intimer de se rapprocher, ce qu'elle fit sans attendre.
    - J'aurais moins froid, si tu étais plus près de moi...
    Malaisée à nouveau, elle entrouvrit subitement la bouche, le regard plongé dans les iris du ténébreux. Lui non plus, n'avait pas l'air d'être à l'aise. Pourtant, lorsqu'il intima un semblant de mouvement pour se laisser tomber sur son lit, elle le rattrapa, et le serra fortement contre sa poitrine. C'était officiel. Elle était amoureuse de lui.


VII. L'échec

    Judyta passait également plus de temps à la peinture, n'ayant qu'un oeil à jeter au bord de la fenètre pour trouver sa source d'inspiration. La neige, lui semblait éternelle. Seulement, une vie ne l'est pas. Son prince mystérieux n'était pas éternel. Malgré son jeune âge, une maladie rare et qui semblait incurrable s'en prit à lui. On fit venir les meilleurs médecins de tout le pays, aucune ne réussi à le guerir. La famille et tout ses sujets, dont la jeune fille, repartirent en Amérique, dans l'état du Michigan pour querir de l'aide auprès d'un docteur plus que renommé : le Docteur Olivier
    Après plusieurs mois de soins intensifs, le diagnostik tomba : il était voué à mourir d'ici peu. Le chagrin s'empara une nouvelle fois de Jud, qui ne pouvait pas se résoudre à le laisser partir. A son chevet, elle laissa les larmes couler de nombreuses nuits pour retrouver le sourire lorsqu'il s'éveillait lentement. Mais, un soir...
    - Tu continues ? Demanda-t-il, d'une voix faible. Voyant qu'elle ne répondait pas, il poursuivit dans un raclement de gorge.
    - Tu me ments encore...
    - Mais non ! Jamais je ne t'ai menti ! Jamais !
    - Haha ! Je n'ai jamais vu une fille qui savais aussi mal mentir !
    - Et moi, une homme si méchant...
    Cette dernière réplique lui ôta les mots de la bouche, et il se reprit, comme s'il avait fait quelque chose de mal.
    - Oui, pardon. Tu n'est plus une petite fille, maintenant. Mais tu danses toujours comme un pied.
    Judyta fit mine de se laisser contrarier, alors que ce seul souvenir suffisait en réalité à la faire sourire. Mais redevenant plus sérieuse, elle se demanda tout de même la vraie raison, pour laqu'elle il l'avait fait venir ici.
    - Je crois que ma seule envie, était de changer ton prénom. Tu avoueras que Judith, c'est bien plus joli.
    Elle se contenta de rire discrètement, alors qui peina pour se redresser et se retrouver assis, face à elle. Demeurant interdit, ils se regardèrent longtemps sans savoir quoi dire, un flot de parole pourtant traversant leur esprit. Le plus courageux des deux, prit l'autre par le bras, la tirant vers lui en engouffrant sa tête au creux de son épaule fragile.
    - Bon, comme j'arrive toujours pas à prononcer ton prénom - voilà la vérité -, je vais essayer autre chose. Je m'excuse si je le prononce mal, mais je suis sûr que tu pourras me comprendre. Une pause. Longue pause, dans le silence.
    - Kocham Cie.
    Le sang de la jeune femme ne fit qu'un tour, les battements de son coeur tambourinant contre sa poitrine. Elle le serra un peu plus fort dans ses bras, se mordant l'interrieur des lèvres pour s'empêcher de pleurer. Jamais.
    - Jamais... Jamais, on ne m'a dit je t'aime. Et jamais, avec un si mauvais accent.


VIII. Le départ

    (***)
    Toutes les femmes poussaient des cris à s'en déchirer la gorge dans les couloirs de la résidence, des pleurs à en remplir l'océan. Judyta se trouvait hors de ce vacarme. Elle avait quitté la chambre en posant délicatement une dernière fois ses lèvres sur son front, le bordant comme si le lendemain matin, il allait se réveiller en lui disant qu'elle dansait comme un pied. Pourtant, elle savait bien, que ce matin là, il ne lui dirait rien. Plus rien.
    . Adossée contre le portail, tristement clos, elle avait replié sa tête contre ses genoux pour cacher l'incachable, le chagrin, la perte de cet être cher. Dans l'une de ses mains, elle avait encore la force de porter un livre de prononciation polonaise qu'elle lui avait acheté la veille, pensant pouvoir lui faire prononcer son nom correctement. Aussi, pour encore se rapprocher encore un petit peu plus de lui...
    Maintenant, il était trop tard.

    Alors que l'allée était déserte, le docteur Olivier qui quittait l'habitation avec peine, prit le soin de s'arrêter, en lui adressant qu'un bref regard.

    - Ne sois pas si triste. Tout n'est pas encore perdu.
    Sa réaction fut immédiate. Elle se redressa d'un coups sec et planta son regard encore trouble dans les pupilles mystérieuses du docteur Olivier. Après tout, si la famille Eitcher avait fait appel à lui, c'était pour une bonne raison. Mais pourquoi, dans la résidence, tout le monde était paniqué ? Ses propos étaient en totale contradiction avec l'ambiance générale.
    - Que voulez-vous dire..?
    Un regain d'espoir, comme une lueur infime, commença à briller dans ses yeux, ce qui n'échappa pas au docteur. Lui, savait exactement tout, mais présentement, il ne pouvait rien faire pour venir en aide au jeune garçon.
    - Suis moi. Proposa-il, sans même attendre une réponse de sa part. Il avait déjà tourné les talons, rebroussant chemin à travers les jardins. Sans trop se poser de question, elle le suivi. En réalité, Thomas était toujours vivant. Seulement, son esprit était ailleurs, plongé dans un profond coma, dû à une certaine faiblesse. Et son réveil, ne tenait qu'à lui.
    - J'ignore combien de temps peut durer son sommeil. Bien, sur ce...
    - Attendez ! Cria-t-elle d'une petite voix, ayant si peu l'habitude de la faire travailler. Lui, n'avait pas bougé.
    - Ici bas, je n'ai que lui pour me soutenir. Je refuse de baisser les bras ! N'y a t-il vraiment aucune solution ?
    Brisant toutes ses attentes, il lui fit non de la tête. Découragée, elle se laissa tomber sur le lit où Thomas dormait paisiblement, se mordant la lèvre inférieure. Depuis 21 ans, elle avait cherché quelqu'un sur qui elle aurait pu déléguer un peu de poids, avec qui elle aurait voulu changer ce vaste monde, changer la mentalité de l'Homme, qui, était voué à sa perte. Et maintenant, elle devait poursuivre son combat seule ? Il était sur qu'elle n'en aurait pas la force, alors, il valait mieux tout abandonner. C'est le discours qu'elle tint au médecin, qui, en silence, l'avait écouté pendant qu'elle se lamentait à tord et à travers. Loin d'être peiné, un mince sourire satisfait se dessinait même au bord de ses lèvres. Tentée de lui faire remarquer sa faute, il la coupa dans son élan.

    - Et si, je te disais, que tu n'es pas seule ? Ou plutôt... Que vous n'êtes pas seuls ?
    - Si vous voulez parler de la résistance, sachez que...
    - NON ! Sa voix se fit plus ferme, et sur le coups de la surprise, Judyta eue un recul, n'osant même plus respirer. Qu'avait-il contre la résistance ? C'était, l'une des seules choses qui se valaient encore sur cette terre. Seulement voilà, durant les minutes qui suivirent, il la mis au courant du projet Terra, seulement l'essentiel, pour qu'elle comprenne avec attention ce qu'il avait voulu insinué avant de légèrement s'emporter.
    Partir, pour un monde nouveau ? L'idée, n'était pas si désagréable. Et même, si quitter un espace connu l'angoissait quelque peu, il était hors de question qu'elle reste ici une minute de plus. Qu'elle le veuille ou non, elle braverait l'inconnu. Rien ne pouvait être pire. Sauf, peut être affronter cette aventure seule...

    Son regard pivota en direction de l'alité. Elle aurait tellement aimé partager cette aventure en sa compagnie, ensemble, tout aurait été si simple. Mais comment faire ?
    Apparemment, le docteur n'avait pas envie de s'attarder plus longtemps sur le problème, et leur conversation l'avait déjà retardé.
    - Bien, allons y.
    - Pas sans lui. Je ne partirais pas sans lui.. Bredouilla-t-elle tout en glissant sa main dans la sienne. C'était peut être insensé, de vouloir ça, mais elle ne pouvait se résignait à l'abandonner dans ce monde pourrit. Peut être, un nouvel air, un nouvel environnement, lui ferait du bien ? Et lorsqu'il ouvrirait les yeux, elle serait là. Le docteur était hésitant, cela se comprenait. Inutile de se surcharger d'un individu inapte à vivre seul dans ce nouveau monde, qui plus ai, avec une maladie, néanmoins connue de celui ci. D'un autre côté, jamais encore, il n'en avait fait l'expérience, et l'occasion ne se représenterait pas de si tôt. Dans un soupir, il s'approcha de son ami pour le soulever.
    -En route maintenant, Judith.

    Relevant les yeux encore rouges vers lui, elle garda une mine sérieuse et froide. Non pas qu'un sentiment de gratitude ne lui avait pas traversé l'esprit, jamais elle n'aurait aucun mot pour le remercier. Seulement... personne n'avait le droit d'utiliser ce nom, plus personne.
    - Judyta. Mon nom, c'est Judyta.

    C'est ainsi que tous les trois partirent en direction du laboratoire, à quelques kilomètres d'ici. Elle avait déjà accepter de le suivre, sans vraiment connaître ses intentions, mais sa curiosité et son envie de renouveau y était pour quelque chose. L'espoir aussi, que Thomas se sente mieux. Qu'avait-elle à regretter d'ici ? Plus rien à présent, puisque le plus important, partirait avec elle.






Mon reflet



    Comme la plupart des polonaises, Judyta n'est pas très grande, sans être minuscule non plus. Atteignant tout juste un petit mètre soixante trois - qu'elle aborde pourtant fièrement -, elle peut compter sur sa silhouette tout en finesse et sa minceur pour la rehausser quelque peu. Néanmoins, vous auriez tord de la croire fragile : fine, ne signifie pas faible ! Danseuse avant tout, elle est tout en muscle, notamment au niveau des mollets gracieusement bombés. Certes, on ne peut pas penser la même chose de ses articulations, étroites et sensibles, mais c'est un inconvénient qu'elle a su gérer en marchant sur les pas de sa soeur aîné.

    Son visage se dessine sous la forme d'un ovale légèrement plus bombé au niveau des joues, ce qui lui donne de l'intensité à son joli minois bien qu'elle possède une peau plutôt pâle. Ses longs cheveux lisses et châtains, parsemés de teintes plus ou moins claires, s'arrêtent au niveau des omoplates, une longueur indispensable pour tout bon chignon qui se respect. (Il est cependant plus habituel de les voir détachés). Parce qu'elle ne supporte pas être dérangée lorsqu'elle travaille, une frange droite a finalement résolu tout ses problèmes, depuis, elle ne la quitte plus. En harmonie avec le reste, les yeux de Jud' sont d'un bleu/gris clair, transperçant, certes, mais en aucun cas terne. Plonger votre regard dans le sien quelques secondes de trop et vous pourriez vous perdre dans cette immensité utopique.

    Détails et possessions :

    - Ayant toujours été habituée à des climats froids et hostiles, sa garde robe se compose essentiellement de vêtements chauds, tout en restant au possible fidèle à sa féminité affirmé.
    - Elle apprécie particulièrement l'écharpe noire offerte par Thomas.
    - Ne comptez pas non avoir la gracieuseté de l'apercevoir en robe, à moins qu'elle ne soit en train de valser.
    - Autour de son cou, un simple bout de ficelle muni d'une fiole à son extrémité. Ce bijou, quelque peu spécial, lui vient de sa mère. Objet de décoration, Judyta s'en est toujours servie en guise de réservoir, fiole à eau miniature pour des soupçons d'inspirations inopinés.
    - Peut être aussi, le résille (filet pour chignon) de sa soeur.
    - Quelques vivres, juste pour un jour ou deux.
    - Une compresse humide pour Thomas.
    - La lame d'un couteau trouvé dans le laboratoire.
    - Une corde usée
    - Une vieille besace, pas très grande, où elle y transporte tout ça.








Mon caractère



Calme | Ordonnée | Utopiste | Philanthrope | Généreuse | Réservée | Pessimiste |


    Philanthrope. C'est certainement l'adjectif qui lui colle le mieux à la peau.
    Judyta n'hésite jamais à aider les gens se trouvant dans le besoin, qu'ils soient méritants ou non, elle sait passer outre les différences, mais seulement dans ce cas là. Allant même s'il le faut au delà de ses propres capacités, les sacrifices ne sont parfois pas à écarter. Cette présence qu'elle donne aux autres sans que l'on ne lui demande, est sans doute dû à un appel à l'aide, qu'elle même tente de passer. Ainsi, elle espère elle aussi recevoir, et comme dans son parcours, elle donnera toujours plus que ce qu'elle ne reçoit.
    D'ailleurs, c'est à cela que Jud semble être dévouée, se battre pour avancer, dans cette noble quête qu'elle a accepté bien des années plus tôt.
    Généreuse, certes, cependant il ne faut pas confondre gentil et bon. Loin d'être idiote, n'essayez pas de l'entourlouper, car son bonté d'esprit peut vite tourner à l'individualisme. Car avant tout, cette jeune femme est faible, et n'a trouver pour seul moyen de se défendre que de se créer une coquille défensive à toute épreuve. selon comment elle interprète le comportement humain, et les intentions de son interlocuteur, son caractère peut changer en un clin d'oeil. Des profiteurs, elle en a l'habitude.

    Calme, son grand sang froid lui permet de gérer les crises, même si son manque de courage et de confiance en soi ont tendance à prendre le dessus sur sa sérénité. Timide ambitieuse, elle s'accroche peut être trop à ses rêves, et à tendance à enchaîner les déceptions. Longtemps privée de pouvoir jouir des plaisirs que possède l'être humain, de par la répression et la censure de sa mère, elle serait même en mesure de surpasser son côté pessimiste pour atteindre le véritable bonheur.

    La vie ne lui a pas fais de cadeau, et l'a beaucoup affaiblie psychologiquement, surtout depuis que Thomas fut plongé dans un sommeil profond par la maladie. Pour se rassurer, comme une enfant, elle se parle souvent à elle même, comme s'il était là pour lui parler, et constater dans quel pitoyable état elle se trouve. Elle a besoin, de croire que son esprit est encore avec elle pour l'aider à surmonter ses erreurs et surtout, à surmonter la solitude. Elle communique avec lui, en le faisant interagir par des souvenirs, comme s'il était là, sans pour autant être une femme dérangée. Elle reste quelqu'un de lucide.

    Bien entendu, de la compagnie, en chair et en os, ne lui ferait pas de mal. Mais Jud' elle même doute qu'elle soit capable de s'ouvrir à quelqu'un une autre fois. D'après son expérience, cela fini toujours mal, et elle ne souhait pas tenter de s'accrocher à une autre personne pour partager ses rêves avec elle. Pour autant, on ne peut la qualifier d'associale, étant donné sa gracieuseté en ce qui concerne apporter son aide. Elle aime le genre humain, elle croit encore en lui. Seulement si les relations restes ternes et sans obligations.

    (Caractère non exhaustif. Se fera plus précis au fil du rp. )






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►Avez-vous bien lu les règles ?
Code : [Code Okay par Loe]

► Votre Pseudo HJ
Sylphide

• Comment nous avez-vous trouvé ?
En faisant de la pub pour un forum, je suis tombée sur l'annonce.
Donc complètement par hasard.

• Comment trouvez-vous le forum?
Et c'est bien parce que j'ai été emballé par le concept de ce forum que je me suis inscrite,
donc aucune critique venant de ma part, juste : AU TOP !


Dernière édition par Judyta B. Litovski le Sam 22 Sep - 5:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Judyta B. Litovski Judyta B. Litovski EmptyVen 21 Sep - 15:48

Invité
Anonymous

Invité
    Pardon du DP, mais fiche enfin terminée ˜


Edit de Loeva
''Enfin'' Ahaha. Mais bon, ca va, on est pas de ceux qui tuent pour des DPs, tant qu'ils ne sont pas totalement inutiles.

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MessageSujet: Re: Judyta B. Litovski Judyta B. Litovski EmptyVen 21 Sep - 19:23

je suis une actrice qui connaît le jeu qui ne lui fut jamais écrit
Féminin

Lena M. Oliver

Lena M. Oliver



Hillo ! ♥

Rien vraiment à modifier ( peut-être, préciser, mais encore, si on s’entend bien entre nous ça me va aussi)

Commençons : lorsque tu parles de pensionnat, entendons-nous qu’on parle ici d’une pension, mais pas d’une école ? Car les écoles sont plutôt inexistantes. Il faudrait que ça ressemble davantage à un couvent qu’a une école, simplement sans l’empreinte d’une croyance religieuse quelconque.



Une autre chose que je trouve floue, mais toujours rien de dramatique :

Citation :
Gregor reprit la route vers la Russie, avant tout son pays natal, mais aussi son lieu de travail. En forte opposition avec le régime de fer, il s'est engagé très tôt dans la résistance, et a décidé de prêter main-forte à sa patrie d'origine au détriment de vivre avec sa petite famille.

C’est peut-être moi qui ai mal compris, mais pour être certaine je le mentionne : faire partie de la résistance n’est pas un travail rémunéré, peut-être mentionner l’autre boulot du père ? (c’est un agent double, peut-être?).



Sinon, un dernier truc qui me perturbe, rien à modifié dans l’histoire, juste une impression que j’ai que je veux mettre au clair : le docteur perd tout contact avec les gens qu’il envoie dans le Nouveau Monde, limite il n’est même pas certain, outre que par les calculs qu’il répète encore et encore, que les gens survivent vraiment au voyage (gentil docteur). Mais bon, si tu l’avais compris comme ça ignore moi 8D Je suis juste parano parce que plusieurs personnes n’avaient pas bien compris cette partie.


Sinon tout est parfait ! Donc bon. Modifie dans ta fiche ou éclaire avec moi les points mentionnés et c’est bon !
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MessageSujet: Re: Judyta B. Litovski Judyta B. Litovski EmptySam 22 Sep - 5:36

Invité
Anonymous

Invité
    Je pensais bien à un couvent, mais j'avais peur aussi qu'on entende plus là un couvent religieux qu'autre chose. Je pensais par contre à un pensionnat dirigé effectivement par des gouvernantes, un lieu ou on apprendrait aux petites filles à devenir des femmes, par l'apprentissage de la couture, du service, de la rénovation de certains objets, etc… Mais en aucun cas de l'enseignement pur et dur. Ça te va si je modifie comme ceci ? :3

    Citation :
    La jeune demoiselle fut envoyer en pensionnat, qu'elle ne quitta seulement pour les vacances d'été. Jamais, on ne venait lui rendre visite, mais ici, elle avait la paix. Les femmes qui s'occupaient de leur apprendre les choses de la vies leur faisait travailler la couture, la cuisine, les règles de savoir vivre, l'art du service, et tout ce qu'elles mêmes jugeaient utile pour que ces petites filles deviennent des femmes. Mais en rien elles ne leur transmettaient une once de savoir.

    Ensuite, j'ai tellement modifié l'histoire dans tous les sens que j'ai du effacer cette partie là !
    Bien sûr qu'il a un autre travail pour subvenir cette fois ci aux besoins de sa famille, un simple commerçant de rue, je le note à la suite :

    Citation :
    Après sa naissance, Gregor reprit la route vers la Russie, avant tout son pays natal, mais aussi son lieu de travail. En forte opposition avec le régime de fer, il s'est engagé très tôt dans la résistance, et a décidé de prêter main forte à sa patrie d'origine au détriment de vivre avec sa petite famille. Pour subvenir aux besoins de celle-ci, même en étant en déplacement, il prit un petit emplacement et devint commerçant de rue. Un bien maigre salaire, mais c'est tout ce qu'il trouva de mieux.

    Bien sûr pour le docteur, j'imagine bien que lorsqu'il les envoie dans ce nouveau monde, à l'aide de la brèche, il perd contact, sinon, ce serait trop facile ! Livrés à eux même quoi :3 Ca ne fait jamais de mal de l'expliquer à nouveau !
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MessageSujet: Re: Judyta B. Litovski Judyta B. Litovski EmptySam 22 Sep - 14:24

je suis une actrice qui connaît le jeu qui ne lui fut jamais écrit
Féminin

Lena M. Oliver

Lena M. Oliver
Je crois bien que c'est parfait ! Tu es validée !

Tu peux désormais commencer à Rp ! ( L'arrivée toujours dans le champ de pierres )
Si tu finis par avoir un abri, viens le demander ici.

N’hésite pas à faire des topics journal/demande de rp/Avis de recherche et viens flooder avec nous ♥.

Edit de Bambi
Bambi édit un post verrouillé qu'on ne verra pas.
M'en fout.
BIENVENUUUUUUUUUUE ♥♥♥


Edit de Loeva
Je l'ai vu, moi, lol.
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MessageSujet: Re: Judyta B. Litovski Judyta B. Litovski Empty


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Judyta B. Litovski

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