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Sùkh Khaad Empty

Sùkh Khaad

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MessageSujet: Sùkh Khaad Sùkh Khaad EmptySam 14 Fév - 20:27

Invité
Anonymous

Invité
Sùkh Khaad

You either die a hero or you live long enough to see yourself become the villain.



Sexe : Homme

Âge : 35 ans

Origine : Ulaanbaatar

Nationalité : Mongol

Langues parlées : Mongol, Turc, Mandarin et des bases d'anglais



Pseudo Hors-Jeu
Red

Avez-vous bien lu les règles ?
Probablement…...je suis aussi anciens que la toile dans le coins la bas !

Où avez-vous découvert Terra ?
Dans les recoins les plus sombres du web ! Bwahahaha




Mon reflet
A chacun ses cicatrices, dis-moi, dis-moi ce que tu caches derrières ces jolis yeux.
Je te rencontre tout juste, je ne te connais pas, dis-moi ce que je dois voir.



En sursaut je m’éveillais, encore en sueur, encore horrifié par ces souvenirs horrible de la guerre. Il n’y avait rien à faire, jamais plus ma vie n’allait être pareille. Quelques pas dans mon appartement miteux du New Jersey me suffirent pour me rendre a ma glace, mon miroir embué. Mes cheveux, long de mon front jusqu’à mes omoplates, étaient légèrement graisseux aujourd’hui, de ce fait leur brun naturellement clair semblait être aussi noir qu’un déversement de pétrole dans le pacifique. Je déplaçai ma frange ainsi que ma natte derrière mes oreilles rondes et menues. Boursouflé et meurtrie par plusieurs batailles, mes oreilles ce sont aiguisé avec le temps, me permettent d’entendre légèrement plus loin et plus clairement que mes compatriotes de mon escadron. Derrière eux cette tresse, souvenir de toute mes victoire, puisque chaque juxtaposition signifiait un ennemi achevé par mon arme. Cette action dévoila mon front, brunâtre vu ma nationalité et ridé par ma mine souvent sérieuse. Perlé de sueur par mon réveil brutal, il est fuyant et étroit. Son étroitesse s’explique bien avec la broussaille de sourcils dont il est munit, mes sourcils étant large, noir et fournis. L’un d'eux, le gauche, a un anneau doré qui le transperce, mon seul bijoux à ce jour. Je plissa mes yeux et battis mes petits cils, faisant fuir la sueur qui venait de s’y longé, quelque gouttes glissèrent le long de mon nez lisse et abîmé par plusieurs coups. D’un air penseur, je me regardais directement dans les yeux pas plus d’une minute, admirant leur couleur perle et déplorant leur ride de fatigue et la noirceur de leur pourtour. J'ouvris l’eau, crispant mon visage avec le grincement des robinet et me rinça le visage, passant de mon front étroit et mes sourcils broussailleux, pour allez vers mes tempes pointu et mes joues creuse. Ma droite était si jolie malgré les temps dur que j’avais eu. Elle n’avait rien de spéciale, pas même une tache de rousseur. Par contre la gauche, elle avait été endommagé par le temps. Une bataille presque perdu m’avait laissé une trace, une cicatrice très longue, de mon cuir chevelu jusqu'à mon menton, passant au travers mon sourcils, mais par miracle me laissant ma vue a cent pour cent. Je l’admirais le temps d’un instant et laissa le souvenir s’échapper comme l’eau qui coulait au font du drain. De mes mains endurcies et épaisse, j'empoignai la crème a rasé et ma lame. D’une précision et d’une délicatesse mystérieuse, je débarrassa mon visage des poils inutiles qui le couvrait, tout en conservant ma barbiche qui faisait, plus souvent qu’autremment, fondre les femmes.

Hélas ma concentration n’y est point, alors un incident est arrivé et je me tranche la peau sous le lobe gauche et le sang y coule, tel une rivière de la cicatrice fraîche jusqu'à mon épaule dénudé. Cette rivière changea la terre déjà bleu d’un artiste à l’aiguille robotique en une marre rouge et douloureuse. Furieux, je déposât violemment la lame sur le lavabo de céramique avec un cris guttural pour laisser ma colère s’enfuir avec les échos. Ma main, crispé sur le manche, démontrai ma force. Tout comme mon bras, on y aperçût des veines prête à éclater sous la pression. Ces veines débutait commençait au sommet de la montagne qu’est ma phalange proximale au niveau de l’index, dévalait le long du col qu’était le dos de ma main, jusque dans le versant de mon poignet, traversant la vallée de mon avant bras et ce terminait au lac du coude. Je me suis souvent fait mentionné que des veines qui sorte bien lorsque l’on force signifie une bonne circulation sanguine. Ma circulation sanguine est excellente, elle permet à mes muscles massif de bien faire leur travail. Je suis fait pour travailler comme le cheval sur la ferme. Mes épaules sont massive et rouge, ce sang versé ne me plaisait guerre, je rangea tout ce qui traînait rapidement et sauta dans la douche. Cette douche, tellement petite que je pouvait me fendre le crâne sur le pommeau du haut de mes six pied quatre pouce, ne contenait que de l’eau froide. Elle me fit frissonner de la tête au pied, mais me calma abruptement. Le sang ce diluait peu à peu et laissait apparaître cet art bleu sur mes épaules. À l'âge de mes dix-huit ans j’avais pris la décision de m'enrôle dans l’armée, tout comme celle de me faire tatoué. J’ai donc quatre lignes par épaules, qui commence sur mes pectoraux et ce termine sur mes omoplates. Ces dessins permanent représente mes peinture de guerre. Tous ceux qui les ont vu on fini par mourir ou bien avoir beaucoup de plaisir. Bien plus de plaisir que moi sous cette eau glacé, en train de me lavé rapidement pour ne pas attrapé d’hypothermie. Du shampoing dans ma chevelure grasse la rendit luisante et lisse, tandis que le savon sur mes abdominaux de bien compter les six muscles qui les composes. J’avais le la définition musculaire un peu partout sur mon corps, autant sur mes mollets que sur mon grand fessier. Mes pectoraux sont puissant et mon dos endurant, un homme bâtit dans la guerre fait pour soulever des montagnes, au sens figuré. J’en ai assez du froid, un dernier rinçage et je sors de la douche pour bien me sécher et m’habiller pour cacher mes muscles et mes blessures du passé. Ces terreurs nocturnes ont une raison, je vous la révélerais plus tard.

Mes accoutrements sont simple et efficace, je suis un ancien militaire, alors je m’habille encore pour faire la guerre, rien qui ne m’entrave les mouvements ou qui me fait suer a grosse gouttes. Un chandail blanc, ample qui me couvre du cou au hanche, avec trois bouton de cuir au niveau de la pomme d’adam pour permettre d’en faire un chandail en v dans les grande chaleurs d’été. Des brassard en cuir dur aux avants bras pour serré les manches et évité qu’elle traîne partout, en plus de protéger des coups et des déchirure prématuré. Par dessus une tunique en cuire, sans manche, munis de poches et d’un col en fourrure qui fait une descente du cou jusqu’au niveau du torse. Les multiples poches de la tunique permette d’y enfouir plusieurs accessoire nécessaires à la survie, notamment sur le pectoraux gauche il y a une poche spéciale fait pour mes bâtons de cancer. Puis du coté droits, un autre semblable pour le briquet a silex et une pierre a aiguisé. Au niveau de la cage thoracique, deux poches régulière, à droite un harmonica et à gauche une pochette de cuire pour y transporté une pommes ou plusieurs baies. Aujourd’hui j’y ai glissé ma pomme verte préférer. Plus bas, prêt des hanches, de grande poches la où j’y sert des pointes de flèches et fournitures pour lire et écrite, dont une loupe, un cahier de note et un crayon de graphite avec son efface séparé. L’endroit de ces objets ne m’importe peu. Une ceinture de cuire large passe au niveau de mes abdominaux. Elle me permet d’y accrocher un carquois avec douze flèches et un couteau de survie militaire à ma droite et une gourde d’eau d’un litre à ma gauche. En plus de m’aider a transporté mes choses, elle me préviens beaucoup de maux de dos lorsque je dois soulever des poids très lourds. Sous la ceinture et la tunique ce trouvai un pantalon cargo noir, avec plusieurs poches. Dans ces dîtes poches on y trouve mon portefeuille, quatre rations de survie militaire et un couteau suisse contenant une fourchette, un couteau et une cuillère pour manger.



Mon caractère
Ce que tu es devenu . . . Parles m’en. Crois-moi, je vais écouter, je veux savoir.
Dis-moi, qui es-tu, comment es-tu, pourquoi es-tu ?



DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ICI - Min 400 mots -

Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-


Mon histoire
Tu as peut-être été beaucoup de personnes différentes, mais ceci est à propos de ce que tu es présentement.
Dis-moi qui tu es et dis-moi comment tu l’es devenu.



HISTOIRE ICI - Min 800 mots -

Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-Texte-
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