-17%
Le deal à ne pas rater :
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS + Cellular 44mm (plusieurs ...
249 € 299 €
Voir le deal


Mathaëlle Kveta Offsbourg Empty
Mathaëlle Kveta Offsbourg Empty
Mathaëlle Kveta Offsbourg Empty
Mathaëlle Kveta Offsbourg Empty
Mathaëlle Kveta Offsbourg Empty
Mathaëlle Kveta Offsbourg Empty

Mathaëlle Kveta Offsbourg

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
MessageSujet: Mathaëlle Kveta Offsbourg Mathaëlle Kveta Offsbourg EmptyJeu 1 Mai - 18:12

Invité
Anonymous

Invité
Mathaëlle Kveta Offsbourg


I've touched rock bottom, so the only way to go now is up




Sexe : Féminin (trop jeune, trop mince, elle a l'air d'un gamin, d'un garçon des rues)
Âge : 17-18 ans (en parait à peine 14-15)

Origine : slaves en autres
Nationalité : États-Unis.
Langues parlées : Anglais
-Français-Espagnol-Chinois (à des degrés variables)
-Langues slaves liées à ses origines et presque entièrement effacées par l'OdN



Pseudo Hors-Jeu
Zhyl.

Avez-vous bien lu les règles ?
[ Code ok par Loeva ]

Où avez-vous découvert Terra ?
Tour de jeu, en votant pour un autre.




Mon reflet
A chacun ses cicatrices, dis-moi, dis-moi ce que tu caches derrières ces jolis yeux.
Je te rencontre tout juste, je ne te connais pas, dis-moi ce que je dois voir.




Un chat de gouttière, le pelage tombant sur le regard vert, la silhouette maigre et asexuée de jeunesse peut-être, des mouvements fluides et nerveux, compensés par un caractère calme et patient. Et puis le regard. Ah! le regard, tout est là, dit et non dit tout à la fois.
Vert tendre et vert triste, terriblement prenant, innocent sans être naïf.

Lorsqu'un dialogue s'installe avare de mots, le jeune garçon se révèle être une fille, l'enfant lorsqu'on découvre sa maturité avoue son âge.
Pourtant l'illusion persiste.

Vêtue d'un pull informe d'un vert virant au brun et d'un pantalon sombre à l'aspect douteux,
les ongles sales et cassés, c'est ainsi que la découvrira le Dct Oliver à leur première rencontre.

Elle partira pour ce nouvel Eden de Terra mieux vêtue et plus propre, mais toujours l'air famélique, fuyante et pourtant décidée.

Mathaëlle, vivant paradoxe.

La parka d'un kaki sombre, qu'elle choisit dans les entrepôts du labo, le dispute au pantalon et au gilet quand aux nombre de poches. Le sac à dos est rempli de tout ce qui lui a paru pouvoir servir et que lui aura permis le Doc après d'âpres discussions*. Un holster à la cuisse gauche retient un boomerang.

Un recurve de chasse encordé dans la main gauche, l'autre étant posée sur son couteau de survie dans son étui à sa hanche droite. Petites précautions au cas où le lieu d'arrivée soit devenu le rendez-vous des gourmets du coin, heureux de goûter à la nourriture exotique que pourrait être les petits humains fraîchement débarqués.

Le carquois dans le dos et les cordes de rechanges en nylon roulées dans une poche de pantalon, la pierre à feu dans une autre.
Les cheveux raccourcis pour l'occasion et un bonnet de laine sur le crane, de ce vert olive sombre qu'elle affectionne particulièrement, elle ressemble à un jeune homme participant à une expédition de chasse dans les réserves du Nord du Michigan.

Nul doute qu'en la voyant ainsi prête pour le départ, Oliver regrette peut-être un peu son choix. Elle ne parait pas agressive, non, mais n'a rien d'une gentille sauvageonne innocente partant peupler son paradis.

Au dernier instant, juste avant que la lumière ne les aveugle, elle vrille Oliver de son regard et lui dit en adieu :
-"Bonne Chance, Doc."

*Dont deux toiles imperméabilisées à la cire et une fourrure roulées serrées pouvant servir pour de grands froids. Une trousse de premiers secours, une petite casserole en métal et un seau en cuir souple pliant. De la corde , du fil de pêche, des hameçons et des aiguilles diverses, une lampe à huile en terre et de la cire pour l'alimenter. Un carnet et quelques crayons mais surtout, Zhyl, la peluche.



Mon caractère
Ce que tu es devenu . . . Parles m’en. Crois-moi, je vais écouter, je veux savoir.
Dis-moi, qui es-tu, comment es-tu, pourquoi es-tu ?




Il ne serait jamais venu à l'idée de Math'y comme on l'appelait dans le bidonville adjacent de s'expliquer, de se raconter.
Et les autres avaient peu à dire d'elle. Soit elle était trop fuyante pour qu'on la connaisse, et on l'ignorait comme les bestioles des rues. Soit elle avait partagé avec vous un peu plus de quelques mots, un peu de nourriture, des barres nutritives périmées sans doute, un conseil parfois. Mais rien à raconter, n'est-ce pas?

Elle avait fuit l'orphelinat et cela la mettait au banc de la société, cible des autorités répressives pense-t-elle, en fait classée sans doute dans les pertes sans profit pour l'état, personnes disparues que l'on ne recherche même plus.

Elle ne voulait pas se rappeler, ni les cours de combat, et les mises à mort d'animaux jusqu'au jour où...
Elle voulait oublier, les cours de transformisme, qui n'avait plus rien de simplement théâtrale et qui prenait une étrange tournure...

Elle se rappelait pourtant ce qui lui avait ouvert les yeux sur son avenir, ce que l'on ferait d'elle durant les missions, ce qu'elle devrait faire. Elle avait fuit et réussit à redevenir libre.

Tout cela faisait d'elle quelqu'un de hautement qualifié pour la survie urbaine, de potentiellement dangereux aussi, mais avec une sensibilité que le dressage n'avait pas réussit à détruire, au contraire.

Elle détestait tuer, elle détestait tricher, elle détestait tout ce qui aurait pu faire d'elle une jeune femme séduisante aux yeux des riches acheteurs. La petite Mata-hari avait réussit à se sauver à temps. Elle avait acquis les aptitudes, mais on n'avait pas encore cassé sa personnalité.

C'est avec cet étrange mélange, d'un coeur bon et même pur, et d'une capacité à assassiner aisément son prochain si elle l'avait voulu, que l'adolescente avait poursuivie sa jeune vie jusqu'à sa rencontre avec le "Doc".
Non le projet Terra n'était pas le club de tourisme imaginé, mais qu'importait, là-bas elle ne risquerait plus de retomber aux mains de l'état, car elle le savait, on ne leur échappait pas deux fois.

Et puis il y avait Sacha...

*************************

Oui, nul doute qu'en la voyant prête pour le départ, Oliver s'inquiéta de son choix. Où donc disparaissait l'enfant au regard attentif qui l'avait écouté durant des heures parler de son projet, de ses espoirs, lorsqu'il avait été sûr de l'expédier sans retour là-bas. La petite fille qui semblait s'émerveiller du projet Terra, qui allait faire ce voyage que lui-même n'osait encore entreprendre, retardant sa fuite pour l'offrir à d'autres, ou les laissant prendre les devants et essuyer les premiers échecs?
Qui était cette adolescente, qui faisait froidement sa liste de courses, comme si partir pour une mission dangereuse était somme toute aussi banal qu'un rush au supermarché.

Oui, le voyage était potentiellement périlleux, et jamais il ne s'en était autant rendu compte peut-être qu'aujourd'hui, sous le regard tranquille d'une enfant qui envisageait sereinement toutes les horreurs possibles.
Il est bien connu que les enfants inventent des contes de fées plus terrifiants que les adultes, il le savait. Tout comme il n'ignorait rien du passé et des compétences de tueuse de Math'y, mais cela avait garder un aspect théorique jusqu'à ce qu'il la voit prête.

Elle ne partait pas seulement à la chasse, elle partait se battre contre un monde, son monde... Pour elle, et pour celui qui avait écouté ses silences. S'il y eut un moment de doute dans la vie d'Oliver peut-être fut-ce là, face à cette enfant qui partait l'arme au poing.



Mon histoire
Tu as peut-être été beaucoup de personnes différentes, mais ceci est à propos de ce que tu es présentement.
Dis-moi qui tu es et dis-moi comment tu l’es devenu.





Elle entre-ouvrit prudemment un oeil, sans un seul mouvement, laissant couler son regard de chat de gouttière sur son environnement immédiat.
Froid, noir, sale, oui tout était normal, puant, bruyant, tout cela était presque rassurant, cela voulait dire qu'elle était toujours libre.
D'ailleurs, si loin de son passé, elle n'avait sans doute plus rien à craindre, mais l'inquiétude était toujours là, éternellement ravivée par les nouveaux dangers de sa nouvelle vie.

Dans ce cadre de misère elle subsistait, libre, mais à quelle prix? Elle aurait pu faire partie d'une élite lui avait-on dit, oui, mais à quel prix?
Tout dans la vie de l'adolescente tournait autour de ce fragile équilibre entre les choix et ce qu'il en coutait de les faire. Chercher de la nourriture était un risque à évaluer, un lieu pour dormir aussi, seules les relations humaines semblaient étrangement échapper à ces interrogations.
Etrangement, car une fille dans la rue aurait pu devenir une proie, mais rien chez elle n'incitait à cela. Elle avait un instinct, qui la protégeait, qui l'aidait à deviner, ressentir les autres. Elle pouvait ainsi éviter pas mal d'ennuis, mais ne pouvait se protéger de la souffrance des autres. Et il y en avait autour d'elle.

Elle oubliait ses rêves au réveil, heureusement car ils lui semblaient sombres aussi, mais pas comme la cité où elle cherchait refuge en hiver. C'était un sombre fait de rouge, et de violence. Pourtant de rares fois il lui était aussi resté de ses nuits l'impression d'un déchirement ou d'un manque, de quelque chose qui était là, comme dessiné en creux par son absence, juste à la périphérie du souvenir.

Lorsqu'elle s'était enfuie de l'OdN, elle avait erré fragile et inquiète, toujours sur le qui-vive mais portée par un espoir ténu. Elle avait remonté les routes, pris des chemins de traverses, perdu le peu de réserves qu'elle avait. Et c'était fort peu car on ne s'embarrassait pas de rendre la vie facile dans le concentrationnaire d'où elle provenait. Ce n'était pas non plus les vieux barbouses, qui les prenaient comme élèves, qui allaient se montrer large, surtout avec une fille comme elle. Elle ne les inspirait pas, et ne faisait rien pour entrer sensuellement dans leurs bonnes grâce. On la gardait non pour le plaisir, mais pour son efficacité, encore accentuée par son air d'enfant qui la rendait indétectable. Elle avait été à rude école, les orphelins des sections scientifiques pouvaient eux sans doute espérer un meilleur ordinaire, même s'il leur fallait prouver constamment leur valeur intellectuelle.

Alors dans cet univers, qu'il existe encore quelque chose qui illumine le futur aux yeux de l'adolescente cela tenait du prodige.
Et qu'était-ce donc. Un avenir fait d'abondance, un amour aux beaux sentiments. Non, cela tenait en quelques mots sur une carte :
"Huron National Forest and Thunder bay", et "The National Marine Sanctuary".

Elle voulait voir ça au moins une fois, sortir des pièges, des combats, de cette paranoïa qu'elle sentait sourdre en elle, comme une source noire, qui menaçait de tout empoisonner.

Elle voulait contempler quelque chose de propre, de préservé. Voir un monde sans humains... Elle espérait encore en ces rares lieux de nature arrachés à la gloutonnerie industrielle.

Elle ignorait que ces domaines étaient devenus les réserves privées des Anghels, car ils partageait cela avec elle, le goût des beaux espaces, mais ils se les appropriaient, au lieu de les laisser seulement être en les protégeant.

~~°oOo°~~

Pourtant chaque instant la rapprochait de la matérialisation de ce rêve sous la forme la plus inattendue possible.


Un de ces pas qui l'amèneraient progressivement vers Terra, était ce jour où elle avait partagé avec Sacha son jardin secret l'espace d'un bref moment de paix

L'endroit n'était que la terrasse d'un toit où personne ne venait la déranger. Elle s'y glissait par un interstice entre des planches mal clouées, si exigüe qu'elle ne fut pas sûre qu'il puisse la suivre. Mais une fois au sommet de l'immeuble ils purent jouir d'une vue hors norme. Les fumées devenaient brumes vaporeuses, au loin les vitres brillaient comme la mer, ou le contraire. Zhyl, comme elle nommait le vieux matou couturé de cicatrices les accueillit méfiant, le dos arqué, prêt à la fuite ou à la bagarre.
Il se détendit quand elle lui parla de sa voix calme et il retourna, quelques mètres plus loin, à son occupation favorite qui consistait à dormir là, au soleil sale que laissait filtrer la pollution des usines encore bien trop proches.

En silence ils étaient restés assis loin au-dessus de la crasse de la ville, et loin de leur vies respectives.

-"Les chats ne font pas des chiens,
mais quand les harpies poussent leurs cris,
même la banshee sous la lune frémit.
Pourtant tout flivoureux les borogoves bourniflaient déjà."


Elle avait récité cela en français sans savoir ce qu'étaient ces quelques mots qui chantaient bizarrement à son oreille. Ils n'avaient pas de sens pour elle.
On n'enseignait pas aux orphelins les lettres inutiles, et la référence à Lewis Caroll lui échappait donc totalement. Et pourquoi en français? Elle avait étudié cette langue aussi, entre autres, mais aucune traduction de ce genre.

Ces quelques mots, comme une ritournelle, étaient des aphorismes préférés de Baba, mais qui était Baba, cela elle devrait encore longtemps l'ignorer.

~~°oOo°~~


Le passage

Il était parti. Ses doigts s'accrochaient désespérément à la peluche. Derniers effluves d'une présence qui laissait un vide dont elle n'avait pas fini de faire le tour.

Combien de jours lui fallut-il pour décider de retrouver sa piste. Combien de relations, de secrets, de marchandages lui fallut-il pour remonter jusqu'à Oliver?

Parfois une mauvaise éducation a du bon. Parfois un mal pour bien, une souffrance passagère pour un bonheur durable, peut-être.

Ce fut comme un chat de gouttière flairant une souris sans bruit, qu'elle parvint jusqu'au Doc. Lequel des deux fut le plus surpris?

Une fois là il ne pouvait plus la laisser repartir, elle en savait déjà trop, tout en ignorant l'essentiel.

La faire parler, l'étudier, l'apprivoiser ou se laisser apprivoiser par elle.
Ce fut une période courte mais intense, où chacun cherchait des renseignements.

Ce fut à ce moment là qu'elle comprit qu'il lu manquait une part d'elle , une part de ses souvenirs d'enfance volés par l'OdN. Ce fut avec l'aide du Doc qu'elle remonta sous hypnose vers Vava.

Plus loin, plus tard il y aurait Baba, dont elle n'avait connut que quelques photos terriblement vieillies, et le folklore familial, mais qui était encore trop enfouie au fond d'elle pour qu'elle l'atteigne.

Le scientifique devait reconnaître qu'elle était presque un cadeau du ciel pour son projet. Si quelqu'un pouvait vouloir faire de Terra le paradis dont il rêvait c'était elle, si quelqu'un pouvait survivre pour relever ce défi, c'était encore elle. Mais, c'est bien connu, tous les paradis ont leur serpent...

Un frisson d'angoisse en la voyant faire la liste de ce qu'elle voulait emmener.

Une petite casserole de métal, oui parce que bouillir de l'eau pouvait s'avérer vital sur le plan médical.
Pouvait-il refuser cela? Un arc, un boomerang et un couteau... Tant d'armes? Oui parce que nul ne savait quel prédateur pouvait surgir. Difficile dans ce monde urbanisé où le prédateur est l'homme de se souvenir qu'il puisse avoir à se défendre contre autre chose... Restait-il assez d'ours dans tous les Etats-Unis pour imaginer que peut-être il y avait là-bas foule de ce genre de compagnie.

Un couteau, une hachette, ou un coupe-coupe elle avait hésité... le bois était l'ami de l'homme et le travailler permettait de survivre mieux... Mais le couteau avait plus de finesse pour les choses délicates. Elle pourrait toujours se faire une hachette de pierre sur place; elle opta pour le couteau.

La peluche, qu'elle avait secrètement rebaptisée Zhyl, il n'aurait pas le coeur de la lui enlever. Trouverait-elle seulement celui qui la lui avait donné en vie?

Un carnet où elle notait tout ses néo-souvenirs, ou hypno-souvenirs. Dedans les quelques éléments qu'Oliver avait pu retrouver sur sa famille en fouillant des archives informatiques d'état-civil. Les hameçons, le fil de pêche, la corde, la trousse médicale. Froidement elle alignait ses besoins. Comme si ce fut tout naturel d'envisager le pire. Sacs de couchage et mini tente elle pouvaient les remplacer par des toiles imperméabilisées naturellement et une fourrure. Encore quelques broutilles, l'allume-feu, la couverture de survie peut-être...

Quelques rations, car elle ignorait si elle trouverait rapidement les autres.
Et eux avaient-ils pensé à tout?
Elle, elle voulait survivre!

Combien de temps s'était passé depuis son départ... Avait-il réussi à survivre?
Se poser des questions et s'inquiéter pour les autres était parfois une forme d'angoisse constructive, cela permettait d'éluder celle qu'elle aurait pu éprouver pour elle-même.

Et surtout y avait-il encore d'autres Terraniens à retrouver. Ce fut au tour de Mathaëlle de sentir un frisson courir à son échine, à l'idée qu'il n'y ait plus personne, et pas de retour.






Dernière édition par MathaëlleKOffsbourg le Mar 19 Aoû - 6:22, édité 37 fois
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Mathaëlle Kveta Offsbourg Mathaëlle Kveta Offsbourg EmptyLun 5 Mai - 12:02

Invité
Anonymous

Invité
Atavisme - Un héritage de sang
Généalogie et histoire de Mathaëlle dans le détail.


Chronologie sujette à remaniement et additifs en fonction des nouvelles découvertes sous hypnose par Mathaëlle de son passé familial. Certaines informations on été collectées par le docteur Oliver et figurent dans le carnet de bord, d'autres sont des néo-souvenirs. Lesquelles sont les plus authentiques et les plus fiables, cela reste difficile à définir.


2024 Retour de Baba à l'Est
2052 Décès de Baba

Filiation probable, mais méconnue, entre Baba et Yul Slobodyn.

2090 Naissance de Yul Slobodya Offsbourg à ....(pays de l'Est).
Math'y ne parvient pas encore à se souvenir, ou n'a jamais su, et le Doc n'a pas trouvé où.
De parents intellectuels, artistes, et bohèmes à l'esprit cosmopolite, il profite pleinement de son enfance pour développer et enrichir sa personnalité.

2103 à 2106 Voyage en France, à Paris, puis dans le Sud-Est.

2106 Finalement sa famille choisi de s'exiler définitivement aux US.
S'en suivent trois années de prospérité.

2109 Mort du dictateur aimé Gracian Anghel --> Nicolae

.... La réforme de Nicolae

2125 Naissance de Volodyn dit Vava, le grand-père qui élèvera Mathaëlle

2126 La résistance s'organise Slobodya en fait-il partie? Il a 36 ans et a connu la liberté, nul doute qu'il sympathise, mais il est aussi un jeune père dans un pays maintenant en souffrance.

2140 Apogée de la Résistance, puis répression totale.

2159 Naissance de la mère de Mathaëlle, "Yulay". Son père, Volodyn, le premier a être né sur le continent américain presque en même temps que la résistance, a donc maintenant 34 ans

2179 Mort de Nicolae --> Malovius et Naissance de Mathaëlle, Yulay à 19 ans la population n'a plus les moyens d'atteindre une certaine maturité, ni de se protéger des grossesses non désirées.
Son père, un vaurien qui à la trentaine a déjà eu d'autres gosses, au décès de Yulay il disparait finir une vie de pauvres débauches, la laissant à son grand-père maternelle, Volodyn dit Vava, qui a maintenant près de 55 ans.

2187 Math'y entre dans le circuit d'éducation étatique traditionnel, très vite dépistée pour son potentiel, les pressions vont s'accumuler sur son grand-père pour qu'il la cède à la Nation

2189 Mort ou disparition du grand-père dans des circonstances peu claires. Mathaëlle a 9 ans et rentre à l'orphelinat.

2193 Elle échappe à l'ODN.

2193 à 2197 Sa vie libre

... Rencontre avec Ash...
Remonter la piste jusqu'à Oliver

2197 Elle17/18 ans elle est en cavale depuis presque 5 ans


Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Mathaëlle Kveta Offsbourg Mathaëlle Kveta Offsbourg EmptyMar 19 Aoû - 6:50

Invité
Anonymous

Invité
Il me semble que Lena m'avait dit trouver acceptable ma fiche, alors voilà j'ai fait les dernières retouches et je demande un avis, et peut-être une validation... Histoire que cette petite découvre enfin la sérénité...

Heu... bon d'accord y a des prédateurs, il fait froid en hiver et chaud en été, mais finalement pour elle c'est peut-être le paradis, huhu ^^


Oui! le paradis!
Pour le froid, nous avons des fourrures et pour le chaud, des lacs !♥♥
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Mathaëlle Kveta Offsbourg Mathaëlle Kveta Offsbourg EmptyMar 19 Aoû - 10:16

Frostbitten Requiem to a Forgotten Elegy
Masculin

S. Ashton Awyer

S. Ashton Awyer
Bonjour Zhyl,

Je t’ai déjà exhaustivement souhaité la bienvenue par le passé, alors je ne m’étendrai pas là-dessus et me pencherai immédiatement sur ta fiche.

Tu as une plume que je ne peux que qualifier de magnifique, vraiment. Vaporeuse et charmeuse à souhait, par conséquent, j’ai beaucoup, vraiment beaucoup, apprécié cette fiche. C’est assez étonnant, dans les faits, considérant que tu reprends mon PNJ, mais je ne peux qu’entièrement retrouver Mathachoue dans tes mots. Tu me sembles l’avoir très bien cerné.

Essentiellement, l’entièreté de ta fiche me convient. Je pourrais pianoter sur le fait qu’Oliver ne ressentirait pas du doute face à Mathaëlle, car il a déjà fait bien pire à d’autres enfants, plus jeunes et plus aguerris qu’elle, mais non. J’aime bien l’imaginer douter une fraction de seconde, la voir disparaître et rester là à contempler le néant avant d’avaler son ressenti pour en revenir à sa coquille mégalomaniaque.

Donc, pour moi, malgré ce qui aurait pu être une vague incohérence au niveau d’Alan Oliver, c’est bon.

Je piétine un peu pour la casserole en métal et je suis vaguement inclinée à te demander de l’enlever de ton inventaire, mais je suis aussi un peu biaisée et j’ai envie de te la laisser. Hinhin. Disons que, je te la laisse et que si un autre membre du staff trouve la motivation de venir appuyer mon inclinaison première, il te faudra la retirer. C’est bon comme ça ? ( Ou comment faire des compromis douteux avec soi-même, merci. )

Donc, sur ce, va, mon petit sac humain ( tant de cargo sur une si frêle gamine m’a bien fait ricaner ), je te valide d’office.

N’oublies pas que tu dois faire ton premier topic dans le champ de pierres ( tu peux faire un post solo ou quémander un partenaire de rp ) et qu’ensuite, tu es libre de rp où tu veux. Aussi, si tu désires obtenir un abri pour Matachoue, il faut en faire la demande ici.

Sinon, je t’offre aussi, en accéléré, quelques petits liens utiles :
Demandes de rps.
Avis de rechereche/demandes de liens.
Journaux intimes/recensement de ta chronologie in-rp.
Demandes de rangs.

Voilàlou ! Tu es maintenant validé, Zhyl ! Je te souhaite de te plaire sur Terra et je me réserve, évidemment, un rp avec toi. <3

Bon jeu !

PS - Pourrais-tu toutefois m'expliquer pourquoi le pseudo de Mathaëlle ne se résume qu'à son prénom plutôt que par 'Mathaëlle K. Offsbourg' ?

Parce que c'est lonnnnng D=


Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Mathaëlle Kveta Offsbourg Mathaëlle Kveta Offsbourg EmptyDim 19 Oct - 12:11

Invité
Anonymous

Invité
Merci pour votre accueil, finalement j'aurais mis 6 mois à mettre sur orbite ma choupette, mais maintenant que c'est fait vous aurez mes réponses régulièrement. Bon maximum un post par semaine le dimanche. J'ai tout de même beaucoup moins de disponibilité que lors de mon inscription. :(

Tes compliments, Clumsy, me touchent énormément, d'une part parce que j'admire terriblement ton écriture comme tout le monde ici je penses, d'autre part parce que je craignais de trahir involontairement l'esprit de ton perso.

Pour le pinaillage musical je te rassures il s'agit plutôt d'un mug aluminium pas épais et pourvu d'un manche en bois. Pas de quoi en faire un tambour de guerre^^

Pour le doute c'est assez drôle je n'imaginais pas que le Doc s'inquiétait pour elle mais plutôt d'elle, et de cet aspect trop dangereux pour ce que peut-être il voit comme un Eden.
Et d'une certaine manière je me demande si certaines composantes de la personnalité de la petite n'en font pas une possible bombe à retardement... on verra ;)

Enfin ça y est! Matachoue s'oxygène et moi avec :D
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Mathaëlle Kveta Offsbourg Mathaëlle Kveta Offsbourg Empty


Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas

Mathaëlle Kveta Offsbourg

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Terra  :: Préambule :: Archives :: Mémoires-