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Félicie Grimson

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MessageSujet: Félicie Grimson Félicie Grimson EmptyLun 26 Déc - 23:44

Pionnier
Féminin

Félicie Grimson

Félicie Grimson
Félicie Grimson



Sexe : Est une fille.

Âge :  De 20 ans

Origine : Québécoise de souche.

Nationalité : Vient du Canada, Québec.

Langues parlées : Parle français et anglais



Avez-vous bien lu les règles ?  
[Ouuui. Je m’auto-valide. ]

Où avez-vous découvert Terra ?  
Loeva

Comment trouvez-vous le forum?
Chouette ♥



Mon reflet
Everybody have scars, now, tell me what you hide beneath those pretty eyes.  
I’ve just met you, I don't know you, tell me what I see.


Je ne sais pas trop comment on décrit une femme de mon genre. Beaucoup me qualifient de jolie, certain non, et moi je n’ai pas vraiment d’opinion à ce sujet. Et puis, pour me décrire, je devrais être objective, non ? Ça m’est impossible. Je me réconforte et me dit qu’un miroir l’est, lui, car il te fera toujours paraitre aussi grosse ou petite que tu es. La déformation, elle, se fait clairement dans ton regard et ton cerveau. D’ailleurs, mon regard est de ceux qui peut rapidement changer. Je me suis déjà surprise un air volontaire et déterminé, les sourcils froncés et le regard féroce. Dans ces cas, je ne suis pas très belle à voir. Par contre, ces cas sont extrêmement rares, et le plus souvent du temps on me trouve un air maternel, le regard tendre, le sourire détendu. J’ai l’air d’un petit animal sans défense, me dit-on souvent, alors que mes mouvements sont doux et que mon toucher est comme une caresse.

D’un coté plus technique, mes yeux sont bleus pâle, de ceux qu’on oubli pas, m’a-t-on souvent dit. Mes yeux ne sont pas en amande, j’ai les traits typiques d’une européenne, et ce même si je viens de Canada. Ce sont les mêmes origines, après tout. Mes sourcils sont d’un brun plutôt pâle, tout comme mes cheveux à leur couleur naturelle. Je les teints cependant de couleur rouge avec des mèches de couleurs plutôt variées. Certaines sont violettes, d’autres plus blondes ou même dorées, et le tout est fait à base de plantes retrouvées dans mon monde d’origine. Mes parents, des amoureux de la nature, m’avaient apprit ce genre de concoction. Leur longueur, quant à elle, est plutôt banale ; m’arrivant dans le bas du dos lorsque détachés. Je les attache presque toujours en une couette ou une natte, dépendant de mon humeur. J’aime beaucoup changer de coiffure.

Ce qui frappe le plus dans mon physique est bien évidement la couleur de mes cheveux. Sauf cette caractéristique et l’énergie bienveillante qui semble m’entourer, je ne crois pas être quelqu’un que l’on remarque du premier coup d’œil. D’une grandeur normale pour un poids santé, je me fonds assez facilement dans la masse, quoi qu’une fois qu’on m’a abordé, on se souvient toujours de moi aisément. J’ai les traits fins, dit-on, et les oreilles percées. Je ne porte malheureusement presque jamais de bijoux, sauf la chainette que m’a offert mon mari avant que je quitte pour Terra. Mes formes sont existantes sans être trop volumineuses, ce qui me donne un air fragile et délicat. Je ne m’en plains pas, car je n’aime pas m’exhiber, et avec une telle poitrine, il me serait plus difficile de m’habiller convenablement.



Mon caractère
What you have become...Tell me about it: believe me, I’ll listen, I want to know.  
Tell me… Who are you? How are you? Why are you?



J’aurais tendance à dire que je suis plutôt biaisée comme source d’information, tant pour mon physique que pour mon caractère. D’ailleurs, je crois que l’être humain aura toujours tendance à s’embellir lorsqu’il aura à parler de lui-même. Est-ce quelque chose de mal ? Je ne crois pas, car cela démontre notre objectif de vie, ce à quoi nous aimerions ressembler. C’est plutôt un portrait de notre idéal que l’on fait, tout en gardant un brin de réalisme, et alors on parle de nous mais entre les lignes. Par exemple, en disant que je suis ponctuelle, et même si je ne le suis pas, je vous apprends que j’ai à cœur le respect du temps et, plus général encore, le respect des autres.

Comme vous avez pu le remarquer, je suis le genre de personne qui aime beaucoup réfléchir, autant sur des questions éthiques que des questions philosophiques. Je crois en l’être humain, en ses capacités et son bien ; nous sommes maîtres de nous-mêmes et de notre destin. Je suis humaniste. J’ai tendance à voir le bon coté de chaque et à vouloir le développer. Je donne beaucoup, j’aime donner, et ce autant de la confiance, du temps et de l’amitié que de l’argent. J’ai cependant tendance à trop couver les gens, trop vouloir donner, et à étouffer ceux-ci. On m’a souvent comparé à une maman, et j’adore cet comparaison entre moi et une femme dévouée qui aime inconditionnellement et qui donc pardonne tout. Certains le disent de façon péjorative, comme si être une mère était quelque chose de mal. Je suis un peu comme la « boniche » du quartier. J’ai déjà entendu rumeurs comme quoi j’étais la plus facile à arnaquer.

Malgré tout, je suis quelqu’un de déterminé. Je crois en mes idées et aime bien débattre. J’ai l’esprit plutôt vif lorsqu’il attrait aux sciences et aux débats politiques. J’ai longtemps vécu dans l’inconscient de toute la sphère politique et publique, mais j’ai vite rattrapé mon retard. Il n’y a pas de meilleure débatteuse que moi, toujours prête à faire valoir mon point de vue. Malgré tout, je m’emporte souvent et ait tendance à trop croire en moi, et donc à m’emporter. Dans ces moments-là, il suffit de me ramener gentiment à l’ordre et je me calme. Ce n’est pas parce que j’ai de mauvaises intentions, au contraire, je crois tellement au bon fondé de mes paroles que je désire en faire part à toute l’humanité.

J’ai autant de bons que de mauvais défauts, rassurez vous. Je suis très maladroite ; je me prends les pieds où il n’y a aucun obstacle, trébuche sur un sol plat et parfois m’étouffe même avec ma propre salive. En plus d’être distraite, toujours la tête dans les nuages, toujours à penser à quelque chose d’autre, je manque cruellement de coordination. Associez ces deux éléments et alors seulement vous comprendrez à quel point je suis maladroite. J’excelle cependant dans la cuisine et la couture, particulièrement parce qu’on m’y a habitué dès mon très jeunes âge. Je suis rêvasseuse et ceci apporte obligatoirement une imagination débordante. J’aime conter des histoires, imaginer d’autres mondes, d’autres situations et d’autres contextes. J’aurais bien aimer écrire des romans comme ceux illégaux que l’on cachait chez moi lorsque j’étais jeune. Le contexte ne s’y prêtait cependant pas, puisque les écrits sauf ceux officiels étaient interdits. J’espère pouvoir apporter un peu de liberté sur Terra, autant physique qu’intellectuelle.

Comme je l’ai déjà mentionné plus haut, je suis du genre naïve et innocente. On m’a souvent dit de faire attention à mes relations et de ne faire confiance qu’au plus petit nombre de personnes possibles, mais je n’y arrive pas. Je m’attache si facilement et sympathise si aisément que lorsque j’éprouve de l’amitié pour quelqu’un je ne peux que déployer tous les efforts pour l’aider. Je me suis faite avoir plusieurs fois, cependant, et ce souvent lorsque j’étais à la recherche d’un mari avant de rencontrer David. On m’a parfois voler de l’argent, souvent pondu des lapins, il y a même un homme qui s’est évanoui dans la nature en me laissant payer son repas, une fois. Malgré tout, je continu de voir ce qui peut être bon et bien caché dans le fond du cœur des humains : ce qui est bien.


Mon histoire
You may have been many things, many persons. But this is about who you are now,
Tell me who you are.  How did you become what you are now?


Selon mes parents, je serais née un 1 mai alors qu’il faisait étonnamment chaud pour une journée de début de printemps. Ils m’attendaient avec impatience, m’ont-ils raconté toute ma vie, et ont toujours voulut un autre enfant, sans succès. J’aurais bien aimé avoir un petit frère ou une petite sœur, mais le destin en a choisit autrement, me disait ma mère autant pour me consoler que pour se consoler, lorsque je lui implorais de me faire un petit à bercer. Si jamais un petit enfant avait eu la chance – car oui, j’en suis convaincue ça en aurait été une – je lui aurais montré comment construire des châteaux de sables ou comment attraper des grenouilles.

J’ai grandit dans un monde où la nature primait sur la technologie. Chez moi, dans le Canada français, on était revenus à des traditions plus simples et la terre était pour nous une bénédiction. Mes parents m’ont souvent dit qu’une fois la dictature des Anghel mise initialement debout, notre pays avait courbé l’échine et était retourné à des valeurs plus traditionnelles qui nous permettait de vivre dans un monde où, justement, il n’y faisait pas bon être. Chez moi, la famille était quelque chose de très importante, ainsi que la loyauté et la vérité. On ne se trahissait jamais entre nous, moi, mon père et ma mère nous soutenions peu importe l’orage qui battait à l’extérieur.

Nous possédions notre petit carré de terre que mon père s’évertuait à travailler d’une façon où nous obtenions toujours suffisamment pour bien survivre, et ce même l’hiver qui était rude chez nous. Souvent, il nous restait assez de récoltes pour aller les vendre à l’automne au village en échange de denrées plus rares pour nous gâtées (comme du chocolat, du sucre ou du café), ou encore d’outils ou d’objets qui nous seraient utiles (comme des couvertures, des raquettes ou une nouvelle bêche).

J’aidais souvent mon père à entretenir le grand potager, déjà jeune je m’amusais à arroser les plantes de la pauvre eau qu’il nous était possible de garder pour nourrir nos terres en nous rationnant. Il m’arrivait fréquemment d’aider ma mère à faire la cuisine ou à entretenir notre petite maison aussi ; nous faisions des conserves pour l’hiver ou nous nous occupions du lait de façon à en faire du fromage. Le reste du temps, je jouais à l’extérieur à grimper aux arbres ou à courir après des écureuils. Je salissais toujours inévitablement mes vêtements et revenait souvent couverte de boue, de sable, ou encore toute mouillée. Au tout début, mes parents me grondaient, puis ils finirent par en rire et me taquiner. J’avais vraiment les meilleurs parents du monde.

Mes parents ont toujours voulut me protégée de la réalité et m’encourageait dans mes jeux imaginaires. Ils me comptaient des histoires le soir avant de m’endormir où à l’heure du bain. Ils jouaient avec moi avec des figurines de cire construite par ma mère. Même lorsque j’eus l’âge de comprendre, ils ne me parlèrent jamais de ce qui se passait hors de notre petit rang plutôt paisible car reculé. Cependant, ils m’apprirent à lire à la maison, malgré que tous les livres non-autorisés par le pouvoir étaient sensées avoir tous disparus. Mes ancêtres avaient réussis à en sauver quelque uns, et depuis ce temps ma famille gardait précieusement leur trésor le plus précieux.

J’étais plus ou moins l’enfant la plus âgée de mon cartier et je prenais honneur à en profiter pour prendre soin des plus jeunes. J’étais comme une maman canne qui s’occupait de ses poussins. Je m’inquiétais pour certains car je savais qu’ils n’avaient pas tous la chance d’avoir d’aussi bon parents que les miens, je les encourageais, leur montrait à chasser les grenouilles, comment nager, etc. Je jouais à la grande sœur, si ce n’était pas à la mère, et je faisais avec eux tous ce que j’aurais aimé faire avec une petite sœur ou un petit frère. J’étais connue et reconnue parmi les enfants du cartier, tous se confiaient à moi et venaient me voir lorsqu’ils avaient un problème ou se sentaient angoissés.

Bref, je grandis dans un environnement aussi heureux qu’il pouvait l’être selon le monde dans lequel je vivais. Puis, un jour, ma mère tomba gravement malade, ce qui eut pour effet de démoraliser mon père. Je pris alors les reines de la terre, travaillant aussi fort que mon petit corps le pouvait. Je n’étais pas aussi bonne que mon père l’était autrefois, mais j’arrivais à faire assez rouler les choses pour nous permettre de survivre. Malheureusement, le prix que nous coûtaient les médicaments que devait prendre ma mère nous ruinait complètement. Les docteurs parlaient d’une maladie et je ne comprenais pas trop de quoi il s’agissait, seulement qu’elle était gravement malade et n’avait pas grand chance de survivre.

Malgré mon chagrin, je continuai à prendre soin de notre terre et à m’occupé de nos affaires comme j’avais toujours vu mon père faire. Ce dernier restait au chevet de la femme qui avait allumer son cœur pour voir du bonheur dans sa vie misérable. Je m’empêchais de pleurer et restait forte alors que mon père, lui, se laissait aller au désespoir. Lorsque ma mère mourut, personne ne fut surpris car elle était si maigre qu’elle en faisait peur. Mon père n’eut pas le courage d’enterrer ma mère et je dus le faire seule, le laissant continuer de pleurer sa peine devant son lit conjugal tristement vide.

À mon retour, mon père avait profité de mon absence pour mettre le feu à notre maison, un des seuls biens qu’il nous restait et, par la même occasion, était mort immolé par le feu. Je ne me souviens plus très bien du reste de ce jour funèbre, seulement que je me retrouvai chez les voisins qui s’occupai de moi pendant quelques semaines, le temps de me remettre sur pied. J’avais alors 18 ans et je me retrouvais avec tous ce qui appartenait à mes parents en ma possession. Je ne savais pas trop quoi en faire, et c’est mes voisins qui me donnèrent l’idée de vendre ces terres pour partir en ville chercher un avenir. J’aurais probablement assez d’argent pour vivre un certain temps, et ils me conseillèrent de tenter de me faire apprécier d’un homme riche, histoire d’assurer de futures années agréables.

Je trouvai cette idée plutôt bonne et, un bon matin, je partis au marché à l’endroit où on s’occupait des terrains pour vendre le mien. Il ne fut pas difficile de m’en débarrassé, puisque notre terre était reconnue pour être très profitable. On m’en donna plus d’argent que je pensais jamais en avoir et, après avoir fait mes adieux à mon cartier, je partis le soir même pour la grande ville ; Montréal. Après un voyage plutôt long, j’arrivai enfin à la métropole qui me semblait si grande. Je me trouvai une chambre d’hôtel à un prix plus que raisonnable – mais pas très propres ! – et une jolie robe pour tenter de séduire.

Séduire les hommes se révéla beaucoup moins difficile que je le croyais, puisque j’étais effectivement agréable à regarder et que ma curiosité intellectuelle semblait leur plaire. Je ne voulais pas vraiment me casée, au fond de moi, car cela allait contre les valeurs d’amour et de vérité que m’avaient inculqué mes parents. Cependant, je n’avais pas le choix si je voulais m’assurer un avenir enviable de me trouver un homme qui m’entretiendrait. Certains me demandèrent rapidement de rejoindre leur vie, mais aucun ne me plaisaient vraiment. Un jour, cependant, je trouvai un homme qui me plaisait assez, sans toutefois parler d’amour, pour que je me vois passer mes journées en sa compagnie. De plus, mes économies diminuaient rapidement, et je me retrouvai bientôt dans le choix impossible d’accepter ses avances ou me retrouvée à la rue.

Mes premières semaines avec mon nouvel – et premier – amant me semblèrent irréelles quoi que très plaisantes. David, car c’était son nom, avait souvent des rencontres pour les affaires, m’achetait de belles robes et me sortait pour me parader à tous ses amis pour leur vanter mes qualités. Chaque fois je rougissais de honte, mais aussi de plaisir, et notre complicité grandissait à une rapidité fulgurante. Ce fut dans ces années que j’appris l’anglais, la langue qui se parlait couramment parmi les bourgeois et les hautes affaires. Puis, après avoir eu la preuve de ma loyauté et après avoir eu ma confiance totale, David m’annonce qu’il travaillait en fait pour la résistance, sous une couverture publique connue et appréciée du pouvoir.

Mon amant prenait beaucoup de risque en agissant ainsi, et je fus totalement d’accord avec ses aspirations une fois qu’il m’eut expliqué son amour de la liberté et son envie puissante d’aider les plus démunis. Je devins immédiatement son allié, et lui fournissais un alibi en cas de problème, ou lui emmenait des papiers importants dissimulés sous des petits gâteau, comme le ferait une femme parfaite.

Avec le temps je rencontrais pleins de gens qui aidaient grandement la résistance, et tous me parlaient du Dr. Oliver comme d’un héro, un sauveur. Je ne connaissais pas grand-chose sur lui, cela me semblait secret, mais j’en connaissais assez pour savoir que je voulais rencontrer cet illustre personnage. Il vint finalement à passé dans notre belle ville et je pus enfin le rencontré. Je tombai immédiatement sous le charme de cet homme, que je sentais si impliqué dans cette lutte pour la liberté. Il devint immédiatement mon idole, et plus les conversations avec lui devenaient fréquentes et riches, plus je l’appréciais.

J’eus enfin l’honneur d’entendre parler de son projet. Je fus d’abord incrédule, puis je finis par me figurer ce que ce devait être. Je voulus immédiatement partir dans ce monde et découvrir ce qu’était l’air pur, le cœur léger et le sentiment d’être maitre de son destin. Je n’en parlai cependant à personne, de peur qu’on croit que je n’aimais pas mon conjoint où que je le trompais. Bientôt, l’occasion se prêta à moins dans une discussion plus intime avec le Doc Oliver que je rencontrais toujours à sa venue à Montréal. On était de très bons amis, et je me plaisais à le conseiller sur les gens qu’il rencontrait et voyait peut-être sur terra. Personne n'y était encore jamais allé, et le Dr. Oliver cherchait ses premiers cobayes. Cependant, il n'arrivait pas à choisir des gens assez bien à son avis pour qu'il puisse les laissés aller à Terra.. Il me confia que selon mes connaissances en agriculture, en cuisine, en chasse, etc. je serais la candidate parfaite pour être une des premières colonisatrices du nouveau monde.. Le vin aidant, je lui confiai que je rêvais de m’envoler vers Terra, de partir là-bas et de ne jamais revenir.

Nous nous laissâmes sur cela et, quelques mois plus tard je reçu une lettre du Dr. Oliver qui m’offrait une place dans son projet. En effet, Mr. Oliver avait longuement penser à notre conversation et croyait que c'était de mon destin d'aller à Terra. Surprise et, surtout, surexcitée, j’en parlai maladroitement à David qui était devenu mon mari entre temps. Réticent à l’idée de me quittée à jamais, mais voulant rester dans ce monde pour continuer d’aider ici, il me confia qu’il me voyait bien aller aider là-bas. Il me donna assez d’argent pour faire le voyage jusqu’au Dr Oliver et m’acheta une grande quantité d’outils, de vêtements, et etc.

C’est un 22 aout, alors que j’avais à peine 20 ans que je me lançais dans la grande aventure qu’était Terra. J’étais triste, je dois l’avoué, de quitté mon mari à qui je m’étais profondément attachée, mais aussi au Dr. Oliver avec qui j’avais partagé beaucoup de mes sentiments que je n’avais partagé avec personne. Cet homme restera probablement mon meilleur ami à vie. Puis, chagrinée, je quittai le monde que j’avais toujours connu pour un nouveau qui créait des papillons dans mon estomac.
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Félicie Grimson

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