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Jun Hyo Jin

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MessageSujet: Jun Hyo Jin Jun Hyo Jin  EmptyMar 8 Avr - 21:45

Je suis le plus beau, le plus fort, je suis ton roi, ton dieu tout puissant ; vénère moi !
Masculin

Jun Hyo Jin

Jun Hyo Jin
Jun Hyo Jin

Fuck you all, I'm in the place!




Sexe : Mâle viril

Âge : 25 ans

Origine : Caucasienne X Asiatique

Nationalité : Coréenne

Langues parlées : Anglais, Coréen et Russe



Pseudo Hors-Jeu
Juju'

Avez-vous bien lu les règles ?
Non *porte*

Où avez-vous découvert Terra ?
Loeva




Mon reflet
A chacun ses cicatrices, dis-moi, dis-moi ce que tu caches derrières ces jolis yeux.
Je te rencontre tout juste, je ne te connais pas, dis-moi ce que je dois voir.



Comme vous le savez sans doute déjà, je suis Coréen, alors nécessairement, j’ai des traits asiatiques : les yeux bridés, une peau légèrement jaune, les cheveux et les iris noirs. Je suis aisément décrit par ces quelques mots. Autrement, je suis de taille moyenne soit 5 pieds 10 pouces, c’est même grand pour un coréen! Mon poids est de quelque 70kg ce qui me donne une taille bien découpée. Il faut bien garder la forme pour se dépenser sur le terrain non?

Sinon. . . Je porte des lunettes. Effectivement, à force d’avoir les yeux devant des écrans ou dans des livres, on s’abime les yeux - ce qui ma value des lunettes pour équilibrer ma myopie. Elles sont d’une très bonne qualité, aussi faites d’un matériau très résistant, car il ne faudrait pas les abimer lors de mes expéditions.

Comme je prends bien soin de ma peau, elle est très douce et, cadeau de la nature, imberbe. Effectivement, étrangement : je n’ai presque pas un poil sur le corps. De toute façon, les poils seraient disgracieux sur un corps aussi beau que le mien.

En plus de ma magnifique personne, j’apporterai sur Terra une grande peau qui me servira de toile pour couvrir une tente, une couverture chaude faite de laine pour les nuits froides, un grand couteau multitâche, un manteau fait de fourrure de première qualité, une gourde de peau d’allure archaïque fournie par le docteur fou et quelques rations de nouriture strictement calculées, puis un sac contenants beaucoup de livres vierges et de crayons à mine, ainsi qu’une grande encyclopédie portant sur la faune et de la flore terrestre. Pour finir : une chevalière portant le blason de ma famille, juste un petit quelque chose de personnel.

J’aurais bien voulu apporter quelques pièces d'équipements pour m’aider dans mes recherches, mais l’autre psychopathe n’a pas voulu que j’en apporte avec moi. Tssssss.




Mon caractère
Ce que tu es devenu . . . Parles m’en. Crois-moi, je vais écouter, je veux savoir.
Dis-moi, qui es-tu, comment es-tu, pourquoi es-tu ?



Vous voulez savoir ce qui a influencé mon choix quant à ce que j’apportais? Et bien en fait, c’est seulement que je suis étonnamment brillant. Effectivement, je fais partie de cette élite qui possède un cerveau ; les autres ne semblant pas en posséder, il suffit de savoir les apprivoiser pour pouvoir vivre avec eux. Je pratiquais, par exemple, souvent le châtiment corporel envers ceux qui ont osé m’affronter. - D’accord normalement ce n’était pas moi, mais un de mes sbires qui le faisait . . . Mais rien ne m’empêchait de regarder. Il semblerait que cette habitude devra changer lorsque je serai dans l’univers de ce fou d’Oliver.

En lisant cela, vous croirez surement que je suis un sadique en puissance, mais vous vous trompez totalement, car je ne fais que m’assurer du bon ordre des choses. Moi en haut, eux en bas. Quoi dire de plus : je suis d’une perfection totale et je suis un être très généreux avec les gens qui me sont proches, je suis, pour ainsi dire, prêt à leur décrocher la lune et à leur fournir tout ce qu’ils ont besoin. Ce fait m’a d’ailleurs souvent fait dépenser de vraies petites fortunes et jouer de mes relations, mais bon, cela pour des gens que j’aime, après tout.

Certain disaient que je n’ai pas d’honneur, car je jouais dans le dos des gens qui ne me plaisaient pas, les manipulant pour me rendre ou bon me semblait, que j’étais quelqu’un à qui on ne pouvait vraiment faire confiance, car une fois qu’ils n’étaient plus dans mes bonnes grâces, je m’amusais à retourner le couteau dans la plaie en plus de faire tomber des nues. Je dois avouer que, ces menteurs, je m’en suis débarsrassé assez vite. Bien quoi? Il faut bien que les apprentis assassins aient des proies pour leurs examens de passage, non? Voyez que je suis généreux. . .

Que dire de plus? Mes passions? J’adore observer pendant de longues heures les plantes et les animaux en tout genre. Je prends même le temps de les dessiner. Assez jeune, je me suis découvert un côté artistique plutôt prononcé, mais ma mère y fut plutôt opposée. Je ne m’en suis pas vraiment formalisé, mais de toute façon, ce talent se révéla plutôt été pratique pour ma carrière.

J’aime comprendre les écosystèmes et trouver des technologies pour les aider, d’où la direction vers laquelle j’ai dirigé mon métier si fabuleux. Je suis une personne passionnée qui n’accepte pas les limites lorsque quelque chose l’intéresse. En fait, je suis assez… comment dire… patient ! Je sans quand il est préférable d’attendre et quand je peux agir.

Autrement, les gens semblent aimer m’écouter parler, car j’ai beaucoup de culture.

Vous voulez sans aucun doute savoir comme un être aussi formidable que moi a pu voir le jour dans notre monde si noir: prière de lire la suite avec attention.




Mon histoire
Tu as peut-être été beaucoup de personnes différentes, mais ceci est à propos de ce que tu es présentement.
Dis-moi qui tu es et dis-moi comment tu l’es devenu.



Amour infinie, romance, chandelle, fleure et abondance de présent : voilà ce que les gens croyais qu’avait été la vie de mes parent. Détromper vous! Une mère et un père, il faut bien deux être de sex opposé pour se reproduire. Commençons pas celle qui ma porter, plus une génitrice qu’une mère, encore moins une maman. Cette femme est l’une des cousines de la fratrie Anghel ou un truc comme ça. Rien de quoi lui conféré un pouvoir immense, mais suffisant pour lui permettre un confort et la tache de devoir surveiller l’un des pays, en gros, faire des rapport pour le propriétaire de tout cette population et régler les petit problème du quotidien. Ce pays? La Corée, pays en forme de presqu’ile se retrouvant à la merci de Gervideo. Mon père, quant à lui, était un orphelin de la nation dans un quelconque domaine de science.

Leur rencontre? Rien de vraiment intéressent. Il vient porter un rapport sur le bureau de l’intendante du pays. Elle le voulait et il était trop laver du cerveau pour comprendre. Forcer à la marier ; elle était tombée enceinte de cet innocent. Bon, après je suis sûr qu’il s’en est pas plain. Sa vie à continuer presque comme avant, mais désormais, il avait une maitresse de plus à qui obéir et satisfaire. Docile, comme tous ses congénères, mon géniteur ne réplica rien, ne défiant ma mère quand de très rare occasion, en fait je ne me rappelle qu’une de seul fois et se fut à mes 5 ans lorsqu’il fut question de mon éducation.

Vous voyez donc dans quelle circonstance je suis née. Un père éduquer, une mère riche et influant et une maison terriblement vide. Je ne vous l’ai pas dit? Et bien figuré vous que je vie dans une immense maison entretenue par quelques paysans incapable. De ses paysans, une est devenu ma nounou. Une grosse femme russe. Oui, vous avez bien lu, une russe. Une grosse femme rustre et sévère. Une femme sans éducation et pitoyable, bonne qua me changer les couches et me donner le biberon, être la servante de mes cris et de mes désir.

Ce temps de l’esclavage passa, me voilà marchant et courant sur mes deux jambes. Plus je grandissais, plus on voyait la ressemblance avec mon père, mais trais asiatique. Ma mère aurait surement préféré que je sois plus caucasien, mais c’était à elle de voir quand elle m’avait fait! La Grosse oursonne russe ou plutôt ‘’mama ruchia’’, comme je me plaisais a l’appeler, ne me permis plus aucun écartade lorsque mes 3 ans furent souffler. Me voilà désormais obliger de faire des tache, aider les domestique – Vous imaginez! Moi, Jun Hyo Jin, le petit neveu de Malvius! Faire des tâches? – apprendre les bonnes manières, apprendre à être tranquille. Je vous le dit tout de suite, elle perdait son temps. A chaque fois qu’elle avait le dos tourné, je partais à la cours et elle devait courir tout le manoir pour me trouver. Je lui faisais les 400 coups avec un ami, fils d’une de nos ‘’servante’’ - Je les qualifierais plus d’esclave – et finissais toujours par recevoir des châtiments. Ce que je ne savais pas, c’est que cette bonne femme, Mama ruchia, n’était pas une femme sans éducation. En fait, c’était un cadeau que Gervideo avait fait à ma mère pour me tenir tranquille. Cette femme était une orpheline de la nation pousser dans l’art de la… la…. Punition? Enfin, bref, vous imaginer que mes conséquences n’étaient pas toujours très plaisantes ou ennuyante.

Peu avant mes 5 ans, j’entendis une querelle éclater entre ma mère et mon père. Le sujet n’était ni plus ni moins que mon éducation. Mon père voulait absolument que j’aille dans le programme qui l’avait éduqué, alors que ma mère voulait engager des orphelins pour me servir de tuteur. Mon cœur se sera. Je n’avais jamais été confronté à ses échange si violant. Cette nuit-là, je la passai dans le lit de mon ami, avec sa mère. Je le trouvais si chanceux, il avait une mère lui, une vrai, qui s’occupait de lui, le réconfortait, l’aimait.

Le lendemain, je soufflais les chandelles de mon cinquième anniversaire. Comme cadeaux, mon père m’annonça que je ne verrais jamais plus Mama ruchia, elle partait cette journée même. A ce moment, je espérais fortement que mon père arête d’être toujours dans son laboratoire pour venir prendre soin de moi. Je fus dessus de s’avoir que je m’enfonçais le doigt dans l’œil si profondément que le coude commençais à disparaitre dans mon orbite.

Il m’annonça, avec grande fierté, que mon ami et moi étions inscrits à l’académie des orphelins. Je restai la sans réagir, espérant qu’il m’annoncerait d’un moment à l’autre que c’était totalement faut, que ce serait lui qui me ferais mes leçon. Ce moment ne viens jamais. Par contre, malgré sa présence qualifiable d’absence, ma mère avait insisté pour que je revienne tous les soirs dormir à la maison et que je passe les journées de congé à ce même endroit aussi.

Le lendemain. Je fus habillé avec un uniforme loin de mes habits quotidiens et partie en voiture avec mon amie dans cet étrange lieu. On nous mis dans des classes séparer, espérant casser notre lien d’amitié, mais à chaque fois que je le pouvais, je courais le retrouver. Inséparable, il fallut qu’il le transfert d’établissement pour que je ne puis plus communiquer avec lui.

J’apprenais vite et bien, j’avais déjà une base pour m’aider. Le temps passa et les cours s’intensifièrent. Je fessai toujours des bêtises, fessant l’école buissonnière quand j’en avais le gout, toujours rattrapé par une bonne correction.

Je grandis et me voilà désormais en étude spécifique. On m’avait classé en écologie. Bon j’avais mis mon grain de sel dans cette décision. Vite fait, les gens de ma classe avaient compris que j’étais une personne influant. Surtout le jour où, mystérieusement, un professeur, aux tendances pédophile et dont plusieurs avait essayé de déloger de son poste sans succès, disparus après avoir touché à ce que je considérais comme mien.

Le petit groupe, composer d’une dizaine de gamin, fit plusieurs voyage à l’étranger pour visiter des écosystème et leur mode de fonctionnement, effectuer des prélèvements dans l’art de la chose ainsi que des analyses. C’est à ce moment que je me rendis compte que le monde était vraiment vaste.

Lors d’une expédition dans les forêts amazonienne, on apprit aussi que ce métier serait parfois dangereux. Ce jour-là, trois de mes camarades perdit la vie. L’un d’une morsure de serpent, l’autre tomba d’une falaise et le dernier toucha à une plante vénéneuse. Triste journée, mais de toute manière, ces gens je ne les aimais pas.

Nous grandîmes encore un peu et nous fumes envoyer vers des sorte de mentor. Il ne fut pas difficile pour ma de trouver un mentor. J’eux celui que je voulais, ma mère fit bien pression pour cela.

J’appris plusieurs choses, mais il me laissa vite voler de mes propres ailes. Passionner par la matière, j’accumulai les conférences et les heures de recherche dans les archives. Je fini par être son bras droit. Ses études portaient d’avantage sur la qualité de la pêche à travers le monde et la caractérisation des sites de pêche.

Ces ainsi que je me retrouvais une fois de plus dans un avion en direction du nord canadien. Là-bas, un homme était supposé m’attendre avec un bateau pour aller faire des prélèvements. À l’heure et au jour dit, il n’était pas là. Aucune trace de lui ou de son bateau et encore moins de son équipage. Ne voulant pas rentré bredouille, je décidai de profiter encore une fois de la richesse de ma famille. Je me dirigeai vers un pêcheur qui n’était toujours par partie. Je lui offris une belle somme d’argent en échange qu’il me porte jusqu’à l’endroit où je devais faire de l’échantillonnage.

Cet homme s’appelait John. Il accepta, de toute manière, je ne pensais pas qu’il refuserait avec la somme que je lui proposais. Il aurais par contre dû refuser. Sans s’être informé des conditions à long termes que la mer nous préparait, nous étions partie après avoir fait de brève provision. La première journée vers notre point d’intérait se passa bien, mais au deuxième, une tempête éclata et le navire coula.

Moi et John nous nous retrouvions a devoir survivre sur une petite ile. Encore une fois, mon sang sauva la donne, on me chercha sous les ordres de ma mère et nous furent retrouver sept jours plus tard.

J’avais eu le temps de bien faire connaissance avec John. Comme je l’appréciais bien, je me permis de dépenser une petite fortune pour lui acheter un bateau à voile qui pourrait lui servir pour la pêche. En parlent avec lui, j’avais compris que c’était l’un de ses rêve et comme j’aime prendre soin de mes ami, l’acte me viens naturellement.

A mes 18 ans, j’eu une grande fêtes, musique à fond, décoration, gâteaux, danseuse, en gros, une fêtes de 18 ans. À cette fête, j’eu un cadeau presque éphémère. On me donna, pour la nuit, l’une des danseuse. Elle se nommait comment encore…. Je ne me souviens plus Bae, Beab… a tien, Beha! Oui c’est ça! Une chose est sure, je ne dormie pas beaucoup cette nuit-là, cette fille était si chaude, si douche, si attirante!

Avec le temps, je commençais à être de plus en plus réputer dans mon domaine, il fallait si attendre non? N’étais-je pas le fruit du désir charnel entre ma mère et un génie Coréen? En fait, pour tout dire il fallait bien si attendre. Le monde est composé d’imbécile. Je suis des rare a être intelligent sur cette terre.

Bref, je donnais un jour des conférences sur une nouvelle découverte. C’est cette journée que tout tourna, que mon destin fut changé par un psychopathe fou allié! Lorsque j’étais à l’avant à parler de ma fabuleuse découverte, un nouveau procéder pour améliorer ‘écologie en général qui pouvais s’appliquer à n’importe qu’elle climat, je m’aperçus que le mec assied totalement a l’arrière dormais sur son siège. Frustré par son attitude, je ne pouvais pas le faire disparaitre contrairement aux autres cas que j’avais déjà eu. Non, le docteur Oliver était bien trop important pour l’état, hors d’atteinte pour les ombres, je pouvais par contre l’engouler. Pourquoi pas. Cela me ferait du bien de gueuler après un imbécile de plus.

Lorsqu’il sortit de la salle pour la pause-café je le rejoins et l’apostropha. Une augmentation agressive de ma part et totalement désintéresser s’en suivie. Je l’accusai de détruire notre monde alors que je voulais le sauver. Qu’il n’était rien d’autre qu’un ermite pas net qui devrait se faire interner dans un asile. Sa se termina par un éclat de rire de sa part alors qu’il partait en me donnant un petit signe de la main d’au revoir. Je bouillais de l’intérieure vraiment ce tipe je ne pouvais pas le sentir.

Comme Ma famille était riche, je pouvais me permettre d’aller manger dans un café presque tous les jours. Il était donc facile de mie trouver en cas de besoin, car j’adorais un endroit ou tous connaissait l’étendu de mon influence. J’avais donc du très bon service. Je vie rentré un des grand de ce monde : Benjamin. Je le saluai et fut surprise qu’il vienne s’assir avec moi. Il me parla d’un projet, tout en restant vague. Tout à coup, se con de Oliver arriva. Sans rien demander, il s’assied aussi à notre table.

Étant devant le frère de Malvius je me retins de tout commentaire, mais je commençais à bouillir a l’intérieure de moi. Le fou commanda quelques chose, comme de fait c’était la plus cher du menu, et commença à parler de projet innovateur et… en fait je ne sais pas vraiment quoi d’Autre. A ce moment, tout était très alléchant, mais très vague. Le doc me proposa d’aller chez lui si je voulais l’aider dans ses rechercher. Il avait tant besoin de mon savoir.

Après réflexion, je décidai d’arrêter cher lui après une excursion près de chez lui. Il m’expliqua alors Terra. Je trouvais sa totalement loufoque, définitivement, il était vraiment bon pour l’asile. Mais je dû me rajuster quand je voulu partir et qu’il m’en empêcha. Je dû rester.

Après longue et longue négociation, je réussi à trouver une entente avec lui. J’allais chercher certaines choses à ma villa, mais j’avais un nouveau garde du corps. Un certain Anton. Je pris donc de nouveau l’avions pour me rendre cher moi et récupéré quelque truck. Pour finalement retourner voir le docteur et passer ses stupides tests. Je suis le meilleur, c’est claire que je vais les réussir! La suite, bien j’en sais rien, j’écris en ce moment même les dernier mots de mon cahier. Je le conserve, mais le garde que par souvenir de ce monde que je vais quitter ce soir.

Voilà vous savez tout! On se revoie l’autre coter de la lumière.
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MessageSujet: Re: Jun Hyo Jin Jun Hyo Jin  EmptyMar 6 Mai - 21:11

The Pirate King
Masculin

Aleksei Boulgakov

Aleksei Boulgakov
Well well well, me voici, me voilà !

Cette fiche est vraiment nickel, autant le physique - et l'inventaire -, l'histoire que le caractère (où l'on ressent tellement l'arrogance de Jun tout le long. Je crois que je suis déjà fan de lui). Mais ne nous égarons pas et restons objective ! Pour moi, il n'y a rien à remanier.

Je t'annonce solennellement que tu es validée. Tu peux dès à présent courir au champ de pierres et faire atterrir ton coréen et son égo sur le sol sacré de Terra.

Have fun !



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Jun Hyo Jin

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