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Sujet: Pilar Grande Dim 6 Juil - 12:32 | |
| Pionnier
Pilar Grande | Pilar Grande
Sexe : Sexe Feminim
Âge : 21 ans
Origine : Espagnole
Nationalité : Espagnole
Langues parlées : Espagnol, anglais et français. |
• Pseudo Hors-Jeu :/
• Avez-vous bien lu les règles ? [Code OK par Loeva]
• Où avez-vous découvert Terra ? Après avoir vu un commentaire sur TourdeJeu
| Mon reflet A chacun ses cicatrices, dis-moi, dis-moi ce que tu caches derrières ces jolis yeux. Je te rencontre tout juste, je ne te connais pas, dis-moi ce que je dois voir.
Pilar se regardait une dernière fois dans le miroir - prête à dire adieu à tout un pan de sa vie – sachant qu'elle n'en reverrait sans doute pas une fois dans l'autre monde. Allure fine, courbe légère, pas très grande, mais pas petite non plus, elle ne s'était jamais fait remarquer par son physique. C'était une femme triste maintenant qu'elle voyait devant elle et ce n'était pas l'image qu'elle voulait donner.
Pour y remédier, elle s'amusa à faire quelques grimaces : Sa première - déformant son nez en nez de cochons - était plutôt ratée, il était trop fin pour rendre la grimace vraiment ridicule. Elle gonfla ensuite les joues, ce qui accentua encore plus son visage déjà arrondi au naturel et pinça sa bouche déjà pas très large mais pulpeuse. Tout en gardant les joues gonflées, elle tira ses yeux de couleurs noisettes vers le bas ce qui arrondissait leurs formes amendes.
Après avoir ri un bon coup toute seule devant le miroir, elle attacha ses longs cheveux bruns d'une simple queue de cheval à l'aide d'un ruban, laissant apparaître ses oreilles décorées par une jolie paire de boucle d'oreille en perle. Sa frange récemment coupée droite lui donner un air strict, ce qui ne la représentait pas vraiment pensa-t-elle. Elle était maintenant prête pour le départ.
Pilar s'était habillée simplement pour le départ, un chemisier blanc confortable, un pantalon simple et des bottines pratiques pour la marche. Elle avait préparé un sac avec une outre d'eau, quelques vivres, un couteau, une aiguille et du fil, du tissu, un t-shirt et un short de rechange, une corde et un savon. Elle avait également une fourrure pour tenir chaud suffisamment grande pour servir de couverture ou simplement de manteau selon les besoins qu'elle mit sur ses épaules. « Je suis prête Alan » Mon caractère Ce que tu es devenu . . . Parles m’en. Crois-moi, je vais écouter, je veux savoir. Dis-moi, qui es-tu, comment es-tu, pourquoi es-tu ?
Pilar aime croquer la vie à pleine dent se donnant toujours à fond et parfois un peu trop. Elle ne supporte pas de rester sans rien faire et s'aventure parfois dans un trop grand nombre de tâches, l'obligeant à avoir souvent des nuits courtes. Après tout elle a toujours été habituée à se lever tôt pour travailler un peu chez elle, avant de se rendre à l'école, pour rentrer encore aider à la ferme et finissait toujours ses soirées très tardivement avec un bon livre.
De nature avenante, elle est en général appréciée pour son sourire et sa simplicité. Seulement, les derniers événements sont encore difficiles pour la jeune femme et elle ne sera peut-être pas toujours aussi agréable qu'à son habitude. Après tout, Pilar avait toujours vécu avec sa famille jusque là et c'est bien la première fois qu'elle part aussi loin de chez elle, avec seulement les boucles d'oreilles de sa mère pour lui rappeler sa vie à la ferme.
Malgré tout, c'est une femme têtue et obstinée et elle n'envisageait pas une seconde rester à se morfondre dans son chagrin. Décidée de suivre la voie que son père lui avait finalement imposée, elle était là pour commencer une nouvelle vie et laisser derrière elle les soucis du passé. Son entêtement et sans doute aussi sa fierté ne lui donne pas le pardon facile : surtout parce qu'elle refusera toujours d'aborder les sujets qui fâchent même si c'est dans le but d'arranger les choses.
Toujours motivée et courageuse dans le travail, Pilar avait également acquis de bonne connaissance quant à l'élevage et les plantations, qualité qui lui seront certainement très utile dans le nouveau monde. Elle savait également coudre et confectionner des vêtements et n'aurait pas de mal à arranger tissu, peau de bêtes en vêtement pratique et si jamais elle croisait ce qui pourrait ressembler à des moutons, elle était capable de travailler la laine.
Peut être courageuse face au travail, Pilar n'est pas pour autant très vaillante face au danger, bien au contraire. C'est même avec beaucoup d'appréhension qu'elle rejoind le nouveau monde craignant d'y rencontrer d'affreux monstres comme dans ses livres. Disons que sauf si elle n'a vraiment pas d'autre choix, vous ne la verrez pas s'aventurer seule dans une forêt sombre et inquiétante.
Pour finir, Pilar n'a pas d'idéaux ou d'idées politiques particulières. Quant au régime sur l'ancien monde, elle y vivait bien et savait plus ou moins que ce n'était pas le cas pour tout le monde. Du moins, elle préférait ne pas se poser plus de questions sur le sujet pour ne pas être trop dérangée dans son bonheur quotidien. De toute façon, elle se rassurait en pensant que ses parents prenaient déjà suffisamment de risques pour toute la famille. Avant tout, elle aspire à une vie tranquille et heureuse et ne se préoccupe pas forcement du reste même si elle se rend bien compte que c'est très égoïste de sa part.
Mon histoire Tu as peut-être été beaucoup de personnes différentes, mais ceci est à propos de ce que tu es présentement. Dis-moi qui tu es et dis-moi comment tu l’es devenu.
Née dans la ferme familiale au pied des Pyrénées au nord de l'Espagne, Pilar eut rarement l'occasion de la quitter étant enfant. Elle vivait avec ses parents dont elle était la fille unique, ainsi qu'avec son oncle et sa tante qui avaient deux garçons plus âgés qu'elle. La vie en Espagne étant plus paisible qu'ailleurs on peut dire qu'elle eut une enfance assez heureuse. Dès qu'elle eut l'âge de courir partout, elle s'employait à toujours disparaître quelque part dans la ferme loin des yeux de ses parents pour faire des bêtises. Du moins jusqu'à ce qu'elle se fasse méchamment pincer la main par une poule qui refusait a priori de jouer avec la petite. Ce jour-là, elle parti en courant du poulailler ne le refermant pas. Il fallut plusieurs heures à ses cousins avant de réussir à retrouver toutes les poules qui s'étaient carapatées. Autant dire que la colère noire dans laquelle son oncle était rentré lui avait coupé l'envie de commettre toutes autres bêtises pendant un sacré bout de temps ! Après cela, elle se contenta surtout de courir partout dans la ferme et de revenir toujours plus sale. Sa tante lui disait qu'elle finirait pas devenir un petit cochon à force de jouer dans la boue. Ce qui faisait bien rire la petite fille. A six ans, elle partait déjà promener les moutons avec son cousin Tiego - de 12 ans son aîné - tous les matins. Un midi en revenant de la promenade, Pilar fut surprise de trouver de nombreuses personnes présentes pour ce qui semblait être une réunion que ses parents organisaient. « Tu as fait une jolie petite fille Natali » disait l'un d'entre eux à sa mère tout en ébouriffant les cheveux de la petite. Mais la petite fut très vite invitée à sortir de la pièce par son oncle, qui semblait clairement désapprouver ceux qui se passaient ici. « Ce n'est pas encore de ton âge Pilar, viens ». C'était la première fois que la petite partie ''travailler'' dans le potager, du moins elle aida à cueillir les tomates et tenta de porter les paniers remplis sans grande réussite. « Ton cousin les portait déjà à ses cinq ans ! » grommelait son oncle. Il se passerait encore quelques années avant qu'elle apprenne qu'il s'agissait d'une réunion regroupant plusieurs résistants. Pilar grandissait tout en travaillant à la ferme : elle apprenait à traire les vaches, tondre les moutons, nettoyer la laine, recoudre les vêtements abîmés, s'occupait du potager. Elle ne faisait jamais les tâches réellement physiques n'ayant pas vraiment la carrure nécessaire, ce qui faisait souvent grommeler son oncle « C'est un homme fort de plus qu'il nous faudrait ! ». Tout en se rendant, les jours de la semaine à l'école qui se trouvait à quelques km de la ferme. Selon sa tante, elle avait beaucoup de chance d'être née en Espagne où l'éducation était très bonne (se limitant tout de mêmes à apprendre à lire, à quelques vague cours de mathématiques et sur les institutions en place). Cependant, la plus grande partie de ses connaissances culturelles venaient de la bibliothèque cachée dans un sous-sol de la maison. Bien sûr elle ne devait en parler à personne, même pas à ses amis de l'école. Bibliothèque qui comprenait de nombreux romans certain historique relatant la vie de Gandhi par exemple. D'autre totalement imaginaire, lui faisant parfois rencontrer des pharaons, parfois des princesses, parfois des créatures totalement imaginaires et effrayantes. Son père s'absentait de façon régulière pour des périodes plus ou moins longue. Natali, sa mère semblait toujours très inquiète dans ses moments là et incapable de dire quand il rentrerait. Souvent aussi, ses parents s'enfermaient dans la bibliothèque avec quelques visiteurs pour discuter. Pilar avait pour consigne de n'en parler à personne. Un de ses cousins, Esteban, lui disait toujours « Un jour, on aurait des problèmes si tes parents s'obstinent ! ». Même si elle ne comprenait pas bien pourquoi il disait ça. Au final, elle passait beaucoup plus de temps avec son oncle, sa tante et ses deux cousins à la ferme quant elle n'était pas à l'école qu'avec ses parents. C'est seulement l'année de ses 13 ans qu'elle décida de découvrir le secret de ses parents en écoutant aux portes. Elle finit par entendre seulement quelques phrases échangées entre ses parents : « Natali ! On doit se battre tant qu'on le peut ! Le monde ne tourne plus rond, je ne peux pas laisser faire ça. N'abandonne pas s'il te plaît. » Après quelques sanglots, elle entendit la voix de sa mère lui répondre. « Tu as raison, mais j'ai tellement peur pour Pilar. » La petite fille partie vite avant de se faire découvrir. Ses parents se donnaient tant de mal pour la préserver tout autant de leur activité de résistants que du monde extérieur. Mais Pilar n'était pas idiote et ses nombreuses lectures lui firent comprendre depuis déjà très longtemps que le monde n'avait pas toujours été ainsi. Pourtant elle appréciait quand même sa vie à la ferme et maintenant qu'elle avait compris que ses parents étaient des résistants, elle avait peur de tout perdre. Après ça, la jeune fille regardait toujours d'un très mauvais œil les amis de ses parents qui leur rendaient visite même si la plupart du temps ça n'avait sans doute rien à voir avec leur activité de résistant. Elle craignait à chaque fois qu'ils mettent en danger leur train de vie. Elle savait que dans certain pays, la vie était bien différente qu'ici et craignait que ses parents détruisent toutes leur vie à la ferme. Pilar passa son adolescence à en vouloir à ses parents de les mettre ainsi en danger en étant membre de la résistance. Et même quand elle eut ses 17 ans et qu'ils décidèrent de tout lui raconter, elle évita la conversation préférant le travail à la ferme. Pilar était maintenant une jeune femme et elle ne savait pas qu'il ne lui restait que quelques années à vivre cette vie là. Elle participait de son mieux à la ferme à nourrir les bêtes, lors de la tonte des moutons pendant les périodes de récoltes, parfois elle continuait encore d'accompagner son cousin promener les moutons le matin. Par contre, pour les tâches ménagères, elle était toujours absente, le ménage, c'est pas son truc et c'était une cuisinière abominable. En contrepartie, elle faisait beaucoup de couture pour raccommoder les vêtements abîmés. La couture elle adorait ça, sa tante lui avait raconté que son arrière grand-mère était une grande couturière et qu'elle devait tenir d'elle. Sauf que maintenant, la population avait d'autres idées en tête que de porter de beaux vêtements et de toute façon ils n'avaient pas leur place à la campagne. Une nouvelle fois ses parents s'étaient absentés. Ils avaient raté son anniversaire, le 14 août, Pilar avait maintenant 21 ans. Ce n'était pas la première fois mais en général, la famille Grande (à lire avec l'accent espagnol, sinon c'est pas beau :p ) essayait d'être toujours réunis pour les anniversaires. Il n'y avait pas de cadeaux, juste un repas en famille et quelques chansons en plus. Cette année là, son père était rentré, seulement le lendemain, seul et affolé. « Pilar, prépare tes affaires ! On s'en va !» Il courrait dans la maison, mit quelques affaires en vrac dans son sac. La jeune femme était restée sans bouger comme les autres. Tous regardait l'homme courir en tout sens. « Mais où est Natali ? » se risqua à lui demander Esteban. Ses yeux se remplirent de larmes : « Elle ne reviendra pas ... » dit-il simplement, stoppant dans le même temps sa course dans toute la maison, « Pilar, dépêche toi. ». Pilar n'eut pas vraiment le temps de réaliser ce qu'il se passait. Elle se précipita dans sa chambre, prit quelques affaires, puis dans la cuisine pour prendre de quoi manger quelques jours. Elle retourna prèt de son père qui l'attendait devant la porte. « Attendez ! » cria la tante. « Pilar, prend ses boucles d'oreilles, elle était à ta mère, tu dois les garder. » Elle lui tendit une paire de boucles d'oreilles en perle. Avant de partir, Pilar prit dans ses bras chaque membre de sa famille les uns après les autres, elle savait que c'était un adieu. « Un ami va venir vous chercher dans quelques heures » se contenta de leur dire le papa avant de partir avec sa fille. Ils marchèrent longtemps avant de rejoindre une voiture. Tout le voyage se passa sans qu'aucun n'échange le moindre mot jusqu'à ce qui semblait être leur destination. Il faisait nuit et ils rentrèrent dans le hall d'une grande maison qui semblait plutôt luxueuse. « Où on est ? » Demanda finalement Pilar. Son père se contenta de la serrer contre lui sans avoir le temps de répondre avant qu'une personne se dirige vers eux. « Vous voilà » dis l'homme en souriant. « Pilar, je te présente Benjamin Anghel, ne t'inquiètes pas, c'est un ami. » Le plus jeune frère Anghel leur laissa le temps de faire leur adieu attendant la jeune femme dans la pièce à côté. Les au revoir furent rapide, Pilar ne réalisait pas l'ampleur de tout ce qui se passait réellement. Sa mère était peut-être morte, elle ne reverrait jamais son père et ne savait rien de ce qui s'était passé pour en arriver à cette situation là. Son père ne lui expliqua rien, il se contenta de la serrer fort, de lui dire à quel point il l'aimait et qu'elle allait lui manquer, pour finalement partir. Après être restée quelques minutes sans bouger seul dans le hall, Pilar se décida finalement à se rendre dans la pièce où Benjamin Anghel l'attendait la peur au ventre. Bien évidemment, elle ne connaissait rien de ses idées politiques et ne voulait pas s'imaginer ce qu'il allait bien se passer maintenant. Il lui fit signe de s’asseoir sur un fauteuil devant lui : « Maintenant, je vais te parler du projet Terra ... » La discussion dura jusqu'au petit matin, Pilar avait l'impression que plus les heures passées, plus un épais brouillard s'installait dans son esprit. Elle suivait les événements de loin, comme si elle n'était pas vraiment là. Sans trop réaliser, Pilar se retrouvait aux États-Unis, face au docteur Oliver. Elle fut installée dans une chambre où elle put enfin réfléchir à tous ce qui venait de se passer. Elle pleura une nuit entière avant de se reprendre comme elle le pouvait. Elle passa un examen médical complet. Autant dire le plus complet qu'elle n'ait jamais eu. Elle échangea que peu de mots avec le docteur, du moins pas plus que nécessaire. Pourtant c'était habituellement bavarde et souriante mais il était encore trop tôt. Le Dr Oliver, après avoir eu le résultat des tests, lui annonça qu'elle pouvait enfin partir. Tous deux conclurent qu'elle partirait le lendemain, le temps de finir de se préparer. Elle rangea son sac, prépara ses affaires, se coupa la frange qui la gênait tout en se disant qu'elle serait embêtée une fois dans l'autre monde à cause de ça. L'heure du départ allait sonner. Pilar se regardait une dernière fois dans le miroir sachant qu'elle n'en reverrait sans doute pas une fois dans l'autre monde. Elle était maintenant prête à dire adieu à tout un pan de sa vie, prête à être une nouvelle personne. « Je suis prête Alan » Pilar n'avait pas besoin d'être proche pour appeler les gens par leur prénom. Elle respira un grand coup un peu effrayé de monter dans la drôle de machine qu'elle trouvait plus qu'inquiétante. La jeune espagnol totalement éblouie par la lumière qui émanait de la brèche ferma les yeux pour finalement les rouvrir dans un autre monde.
Dernière édition par Pilar Grande le Lun 7 Juil - 20:18, édité 3 fois |
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Sujet: Re: Pilar Grande Dim 6 Juil - 21:10 | |
| Pionnier
Pilar Grande | |
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Sujet: Re: Pilar Grande Lun 7 Juil - 18:13 | |
| Frostbitten Requiem to a Forgotten Elegy
S. Ashton Awyer | Bonjour et bienvenue sur Terra, dear. C'est moi qui me chargerai de ta fiche, alors, si tu as la moindre question ou le moindre commentaire, n'hésite pas à poster à ma suite ou à communiquer avec moi par MP. *^* Physique. Charmant. J’ai apprécié la manière dont tu as présenté cette description, la grimace était très mignonne. Psychologique. Tout est bien. Ses aptitudes seront profitables au Nouveau Monde. *^* Histoire.• Qu’entends-tu par école ? Je demande cette précision, car, je veux m’assurer que tu as bien compris que la scolarité, dans le Premier Monde, est très limitée. L’éducation se limite souvent à apprendre à lire, écrire et utiliser des mathématiques simples. On peut aussi considérer que les enfants reçoivent les connaissances nécessaires à la compréhension basique du régime (qui règne, les règles etc. Le tout prônant le bon fonctionnement du régime).• Encore sur la note de l’école, il est plutôt rare ( à moins d’être un enfant de riche recevant l’école à la maison ) de poursuivre sa scolarité jusqu’à dix-sept ans. Habituellement, les jeunes se voient octroyés une scolarité ne dépassant pas le niveau primaire. • Aussi, en ce qui concerne les livres, de quels sujets traitent-il et en quelle quantité se retrouvent-ils dans la cave ? D’ailleurs, je conseille un grenier plutôt qu’une cave, car dans une cave, les livres moisiraient. • À 10 ans, il serait un peu impossible qu’elle puisse comprendre tout ce qu’elle aurait lu dans sa cave. Peut-être pourrais-tu la vieillir un tantinet et expliquer que ses cours ? Voilà, c'est tout. Globablement, ta fiche est très agréable et j'ai bien hâte de voir ton personnage vagabonder sur Terra. <3 |
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Sujet: Re: Pilar Grande Lun 7 Juil - 20:24 | |
| Pionnier
Pilar Grande | Alors j'ai ajouté deux-trois mots à la descriptions psychologiques (craignant d'y rencontrer d'affreux monstres comme dans ses livres.) Pour l'école, on pense bien pareil, j'ai rajouté dans une parenthèse qu'on y apprenait juste à lire, un peu de mathématiques histoire de savoir compter et quelques cours sur les institutions en place. Pour le passage de l'école plus vieille je l'ai juste supprimé du coup :) Pour les livres j'ai précisé à la fin du 4ème paragraphe de l'histoire il me semble ! Et j'ai changé 10 ans par 13, j'hésitais aussi sur ce point. Voili voilou ! Et merci :) |
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Sujet: Re: Pilar Grande Mar 8 Juil - 0:00 | |
| Frostbitten Requiem to a Forgotten Elegy
S. Ashton Awyer | Eh bien, darlin', te voilà toute parée à ta validation. Je te valide donc d'office et te souhaite un bon et long séjour sur Terra. Je t'attribuerai ta couleur dans quelques secondes et t'invite, pendant ce temps, à passer te faire : a) Une demande de rpb) Une demande de liensc) Le journal de tes aventuresN'hésite pas, aussi, à te référer au guide du Nouveau Monde pour pimenter tes rps si le coeur t'en dit. Le premier post se fait, bien évidemment, au champ de pierre. Au plasir de pouvoir te lire bientôt. *^* |
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