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Sùkh Khaad

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MessageSujet: Sùkh Khaad Sùkh Khaad EmptyLun 2 Mai - 9:18

Newbie
Masculin

Sùkh Khaad

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You either die a hero or you live long enough to see yourself become the villain.



Sexe : Homme

Âge : 35 ans

Origine : Ulaanbaatar

Nationalité : Mongol

Langues parlées : Mongol, Turc, Mandarin et des bases d'anglais



Pseudo Hors-Jeu
Red

Avez-vous bien lu les règles ?
Probablement…...je suis aussi anciens que la toile dans le coins la bas !

Où avez-vous découvert Terra ?
Dans les recoins les plus sombres du web ! Bwahahaha




Mon reflet
A chacun ses cicatrices, dis-moi, dis-moi ce que tu caches derrières ces jolis yeux.
Je te rencontre tout juste, je ne te connais pas, dis-moi ce que je dois voir.



En sursaut je m’éveillais, encore en sueur, encore horrifié par ces souvenirs horrible de la guerre. Il n’y avait rien à faire, jamais plus ma vie n’allait être pareille. Quelques pas dans mon appartement miteux du New Jersey me suffirent pour me rendre a ma glace, mon miroir embué. Mes cheveux, long de mon front jusqu’à mes omoplates, étaient légèrement graisseux aujourd’hui, de ce fait leur brun naturellement clair semblait être aussi noir qu’un déversement de pétrole dans le pacifique. Je déplaçai ma frange ainsi que ma natte derrière mes oreilles rondes et menues. Boursouflé et meurtrie par plusieurs batailles, mes oreilles ce sont aiguisé avec le temps, me permettent d’entendre légèrement plus loin et plus clairement que mes compatriotes de mon escadron. Derrière eux cette tresse, souvenir de toute mes victoire, puisque chaque juxtaposition signifiait un ennemi achevé par mon arme. Cette action dévoila mon front, brunâtre vu ma nationalité et ridé par ma mine souvent sérieuse. Perlé de sueur par mon réveil brutal, il est fuyant et étroit. Son étroitesse s’explique bien avec la
broussaille de sourcils dont il est munit, mes sourcils étant large, noir et fournis. L’un d'eux, le gauche, a un anneau doré qui le transperce, mon seul bijoux à ce jour. Je plissa mes yeux et battis mes petits cils, faisant fuir la sueur qui venait de s’y longé, quelque gouttes glissèrent le long de mon nez lisse et abîmé par plusieurs coups. D’un air penseur, je me regardais directement dans les yeux pas plus d’une minute, admirant leur couleur perle et déplorant leur ride de fatigue et la noirceur de leur pourtour. J'ouvris l’eau, crispant mon visage avec le grincement des robinet et me rinça le visage, passant de mon front étroit et mes sourcils broussailleux, pour allez vers mes tempes pointu et mes joues creuse. Ma droite était si jolie malgré les temps dur que j’avais eu. Elle n’avait rien de spéciale, pas même une tache de rousseur. Par contre la gauche, elle avait été endommagé par le temps. Une bataille presque perdu m’avait laissé une trace, une cicatrice très longue, de mon cuir chevelu jusqu'à mon menton, passant au travers mon sourcils, mais par miracle me laissant ma vue a cent pour cent. Je l’admirais le temps d’un instant et laissa le souvenir s’échapper comme l’eau qui coulait au font du drain. De mes mains endurcies et épaisse, j'empoignai la crème a rasé et ma lame. D’une précision et d’une délicatesse mystérieuse, je débarrassa mon visage des poils inutiles qui le couvrait, tout en conservant ma barbiche qui faisait, plus souvent qu’autremment, fondre les femmes.

Hélas ma concentration n’y est point, alors un incident est arrivé et je me tranche la peau sous le lobe gauche et le sang y coule, tel une rivière de la cicatrice fraîche jusqu'à mon épaule dénudé. Cette rivière changea la terre déjà bleu d’un artiste à l’aiguille robotique en une marre rouge et douloureuse. Furieux, je déposât violemment la lame sur le lavabo de céramique avec un cris guttural pour laisser ma colère s’enfuir avec les échos. Ma main, crispé sur le manche, démontrai ma force. Tout comme mon bras, on y aperçût des veines prête à éclater sous la pression. Ces veines débutait commençait au sommet de la montagne qu’est ma phalange proximale au niveau de l’index, dévalait le long du col qu’était le dos de ma main, jusque dans le versant de mon poignet, traversant la vallée de mon avant bras et ce terminait au lac du coude. Je me suis souvent fait mentionné que des veines qui sorte bien lorsque l’on force signifie une bonne circulation sanguine. Ma circulation sanguine est excellente, elle permet à mes muscles massif de bien faire leur travail. Je suis fait pour travailler comme le cheval sur la ferme. Mes épaules sont massive et rouge, ce sang versé ne me plaisait guerre, je rangea tout ce qui traînait rapidement et sauta dans la douche. Cette douche, tellement petite que je pouvait me fendre le crâne sur le pommeau du haut de mes six pied quatre pouce, ne contenait que de l’eau froide. Elle me fit frissonner de la tête au pied, mais me calma abruptement. Le sang ce diluait peu à peu et laissait apparaître cet art bleu sur mes épaules. À l'âge de mes dix-huit ans j’avais pris la décision de m'enrôle dans l’armée, tout comme celle de me faire tatoué. J’ai donc quatre lignes par épaules, qui commence sur mes pectoraux et ce termine sur mes omoplates. Ces dessins permanent représente mes peinture de guerre. Tous ceux qui les ont vu on fini par mourir ou bien avoir beaucoup de plaisir. Bien plus de plaisir que moi sous cette eau glacé, en train de me lavé rapidement pour ne pas attrapé d’hypothermie. Du shampoing dans ma chevelure grasse la rendit luisante et lisse, tandis que le savon sur mes abdominaux de bien compter les six muscles qui les composes. J’avais le la définition
musculaire un peu partout sur mon corps, autant sur mes mollets que sur mon grand fessier. Mes pectoraux sont puissant et mon dos endurant, un homme bâtit dans la guerre fait pour soulever des montagnes, au sens figuré. J’en ai assez du froid, un dernier rinçage et je sors de la douche pour bien me sécher et m’habiller pour cacher mes muscles et mes blessures du passé. Ces terreurs nocturnes ont une raison, je vous la révélerais plus tard.

Mes accoutrements sont simple et efficace, je suis un ancien militaire, alors je m’habille encore pour faire la guerre, rien qui ne m’entrave les mouvements ou qui me fait suer a grosse gouttes. Un chandail blanc, ample qui me couvre du cou au hanche, avec trois bouton de cuir au niveau de la pomme d’adam pour permettre d’en faire un chandail en v dans les grande chaleurs d’été. Des brassard en cuir dur aux avants bras pour serré les manches et évité qu’elle traîne partout, en plus de protéger des coups et des déchirure prématuré. Par dessus une tunique en cuire, sans manche, munis de poches et d’un col en fourrure qui fait une descente du cou jusqu’au niveau du torse. Les multiples poches de la tunique permette d’y enfouir plusieurs accessoire nécessaires à la survie, notamment sur le pectoraux gauche il y a une poche spéciale fait pour mes bâtons de cancer. Puis du coté droits, un autre semblable pour le briquet a silex et une pierre a aiguisé. Au niveau de la cage thoracique, deux poches régulière, à droite un harmonica et à gauche une pochette de cuire pour y transporté une pommes ou plusieurs baies. Aujourd’hui j’y ai glissé ma pomme verte préférer. Plus bas, prêt des hanches, de grande poches la où j’y sert des pointes de flèches et fournitures pour lire et écrite, dont une loupe, un cahier de note et un crayon de graphite avec son efface séparé. L’endroit de ces objets ne m’importe peu. Une ceinture de cuire large passe au niveau de mes abdominaux. Elle me permet d’y accrocher un carquois avec douze flèches et un couteau de survie militaire à ma droite et une gourde d’eau d’un litre à ma gauche. En plus de m’aider a transporté mes choses, elle me préviens beaucoup de maux de dos lorsque je dois soulever des poids très lourds. Sous la ceinture et la tunique ce trouvai un pantalon cargo noir, avec plusieurs poches. Dans ces dîtes poches on y trouve mon portefeuille, quatre rations de survie militaire et un couteau suisse contenant une fourchette, un couteau et une cuillère pour manger.



Mon caractère
Ce que tu es devenu . . . Parles m’en. Crois-moi, je vais écouter, je veux savoir.
Dis-moi, qui es-tu, comment es-tu, pourquoi es-tu ?



We’re all mad here...

Puis finalement habillé, je me dirigea vers la porte, un voyage en train vers le Michigan m’attendais. Un voyage d’une longue durée, pendant lequel il n’y aura que moi et ma tête.
Cette tête qui a vécu long et large, qui a vu vivre et mourir. Le contenu biologique de cette tête est ce qu’il y a de plus normal; entre mes deux oreilles il y a un cerveau, deux hémisphère et six sections. Je ne suis pas un scientifique, je n’en connais pas plus que cela. Je peux simplement vous dire que le miens roulent toujours, je suis un penseur ; un penseur actif, action réaction ; toujours sur le qui-vive, prêt a tout ce que la vie me lance au visage.

Nothing will ever be the same…

Mon enfance avait été piteuse, pauvreté, nomade. Courir toujours et toujours courir, pour la nourriture, pour échappé la lois, pour ma soeur, pour ne pas voir mes parents mourir. Mais un jour tout cela arrêta. Courir n’était plus une option, obéir par contre l’était. je venais d’avoir 9 ans quand c’est arrivé. Ils me l’ont pris de force et si je ne les écoutaient pas, elle ne serait plus de se monde. La garde de fer, ma nouvelle famille, ma famille imposée. J’ai toujours été un gardien, toujours gardé un oeil sur ma famille et mes amis. Personne ne reste derrière. À ce jour cette méthode de pensée n’a pas changé, seulement la façon d'on je l’applique. Après 3 ans d’esclavagisme, ils avaient brisé mon corps. Forgé par leurs coups, leurs travaux forcé et des milliers d’heures d'entraînement en tout genre, j’étais maintenant un soldat. Ils m’ont apprît la discipline, l’honneur (ou plutôt l’horreur), la survie, la colère contre certains gens de la société, comment ignoré la douleur physique et psychologique. Bref, ils ont simplement réorienté ma façon de pensée des 12 premières années de ma vie a leurs avantages. Du moins ce qu’ils croyaient. En tête je n’avaient que ma soeur. Aujourd’hui c’était le test ultime, selon leur point de vue. Je ne l’avais toujours pas compris par contre.

To stay with us, you must kill whoever we ask you to kill...

Fusils a la main, moi et mes camarades devenions officiellement un escadron. Des enfants soldats. La pire horreur du monde. Pour testé notre volonté d’agir ils sortirent une personne par soldat, devant nous, tous habillé en lambeaux avec une cagoule. Tous en noir, impossible de les reconnaître. Alors quand ils nous ont dit de tiré, je n’ai pas hésité. Ensuite ils nous ont forcé d'aller voir nos victimes et de regardé la mort dans leurs yeux. Ce jour la, je fut brisé. Ce jour la j’ai perdu confiance en moi-même et je me suis abandonné a mes maîtres. Ce jour là, j’ai tué ma soeur et j’ai promis de prendre vengeance pour cet acte.

An act of love…

Deux ans de ma vie fur simplement sombre, aucun souvenir clair, simplement me réveiller, manger, suivre les ordres et me coucher. Un grand vide. Un blocage émotionnel de 12 ans à 14 ans. Qu’elle tristesse, l'innocence perdu si horriblement. Réveiller sans être là. Manger sans savourer. Vivre que pour tué. La mort de mon moi enfant. C’était comme un survol de plusieurs chapitre de ma biographie, sans que j’en soit l’auteur. Survolé 730 pages de ce merveilleux livre, survivre, car vivre n’était plus applicable. Puis un jour il y eu une mission différente. Recrutement, qu’ils disaient. Les autres adolescents qu’on appelait mes coéquipier voulait me montré la voie. Leur voie. Quand on voie un garçon ennemi, on le frappe et on le fait saigné, m’avait enseigner les orphelins. Puis les femme, on urine dessus pour faire notre territoire ou on la féconde, puis on meurtris l’enfant en elle sans qu’il ne naisse. Que de l’horreur. J’ai tenté ces choses, sans succès, car la première fille qui me tomba sous l'oeil, elle avait 12 ans. Elle était rousse, avec de jolie yeux verts et je n’ai jamais plus la faire souffrir. Alors je l’ai protégé, mon blocage avait été renversé, mes émotions coulait à flot comme le sang coulait dans ma gorge quand il me frappait au lieu de la frapper elle. Je la protégeais en prenant ces punitions. Pendant 4 ans ce stratagème fonctionna. Mon amour pour cette petite fleur fané grandissait et la sienne pour moi aussi.


Mon histoire
Tu as peut-être été beaucoup de personnes différentes, mais ceci est à propos de ce que tu es présentement.
Dis-moi qui tu es et dis-moi comment tu l’es devenu.


Run child, run and never come back…

Aujourd'hui, il y a 14 ans j'ai eu 18 ans. Mon père venait de mourir, selon la lettre que j'ai reçut de l'état lors de nos assauts sur des rebelles en Afrique. Que d'horreur et peu de plaisir. Ma copine, que j'avais mis enceinte il y a deux semaines étaient au loin, j'avais réussi a l'envoyer prêt de ma famille en Mongolie.



Dernière édition par Sùkh Khaad le Lun 27 Juin - 23:14, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Sùkh Khaad Sùkh Khaad EmptyMar 3 Mai - 12:33

Je suis mère des terres fertiles, j'accueille en mon sein celui qui y chasse
Féminin

Émilie-Anne Larose

Émilie-Anne Larose
GogoGo !

Continue ta fiche dans la joie et dans l’amour *meurt*

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